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Épouse e t puteAu départ ce fut comme un jeu. Le temps augmente nos vices. Après un certain âge on devrait couper la tête des vieillards. Rassurez-vous à cinquante je pouvais me considérer encore en la force de l’âge. Cependant j’avais pris goût aux femmes tournant à toute occasion cochon. Usant et abusant sans vergogne de ma situation voire de mon statut. Le délit de harcèlement faisant feu de tout bois ne m’avait pourtant guère touché. Au contraire je jouais d’autant avec le feu que je savais cette épée de Damoclès sans cesse sur ma tête. Je roulais à tombeau ouvert vers un hypothétique précipice.Cette fois je fis fort. Je ne m’engageais pas moins à trahir un de mes meilleurs amis. Le pauvre n’en a jamais rien su. Même il n’a point assez de louanges aujourd’hui pour moi. Il crie partout que je lui ai sauvé la mise. La charrette de licenciements auquel il semblait voué lui a été épargné. Il ne s’est jamais avisé l’imbécile de demander à sa femme le fin mot de l’histoire. J’évite de croiser à présent cette dernière. Elle me déteste à juste titre. Un temps j’ai cru qu’elle chercherait réellement à se venger et me nuire. Peut-être croit-elle que j’ai pièce encore sur son mari. Nous en sommes restés là.Outre que je méprisais le mari, je convoitais depuis longtemps sa femme. Au premier abord cette quadra n’était plus de toute fraîcheur et aurait du m’indifférer. Juste devais-je lui concéder le charme et l’intelligence de la maturité rayonnante. Pour le reste elle vous écrasait de sa supériorité. Genre femelle dominante. Bref une chieuse. Sur le plan de la beauté, beaucoup pouvaient lui en remontrer. Visage banal, elle n’en arborait pas moins une crinière dense et un œil non moins empli de magnétisme. Surtout un corps de feu, celui d’une panthère impérieuse lorsqu’elle déambulait.Quelle ne fut mon étonnement et mon dépit lorsque par témoignages concordants j’eus la certitude absolue qu’elle couchait et cocufiait à tout-va son mari, mon grand ami devant l’éternel. Je la croyais toute dévolu à son travail et à ses dossiers et assez méprisante pour ce qu’on appelait la bagatelle et auxquels tant dont moi sacrifiaient. Elle était descendue du piédestal pour nous rejoindre, humbles mortels. Elle se vautrait ainsi dans la tourbe, le stupre s’anonymisant avec nous. Tout cela eût du à la fois me rassurer et me réjouir. On n’aime rien tant qu’une excellence qui déçoit.Ma colère s’adressait à moi qui avait été une dupe. Pourtant j’avais maintes fois détecté une garce. Je savais qu’il fallait se méfier de cette eau qui dort et qu’une supposée frigide pouvait receler des fois un volcan. Mon flair avait été déjoué. J’avais trop cru à son mari, mon ami qui se plaignait assez que les galipettes entre eux deux avaient depuis longtemps été abandonnées au point qu’il était allé voir ailleurs et quand je lui rétorquais : « N’as-tu pas peur d’encourir la même sanction ? « Il répondait narquois : « Elle ne bande que pour ses dossiers. J’ai épousé un bourreau de travail ».Dépositaire de ce secret, je choisis de le garder et d’observer le cas en personne comme ferait un entomologiste d’un singulier insecte. Je voulais apprendre de ce phénomène rare à mes yeux. Je ‘en choisis pas moins la provocation. Un matin tout bonnement la sachant peu loin dans les parages, je décrochais le téléphone lui proposant de déjeuner avec moi en vitesse dans le quartier de la Bourse. Connaissant la bougresse je l’assurais que notre déjeuner n’excéderait pas une heure. Elle accepta de mauvaise grâce. Je compris qu’elle faisait cela pour ménager entre autre son mari.Elle avait toujours eu du mal à dissimuler ce mépris qu’elle avait pour moi. Elle était abasourdie que son mari eût choisi comme meilleur ami un type tel que moi. Sur le fond elle avait raison. C’était une amitié toute de guingois. Quoiqu’il en soit je haïssais qu’une femme vint intercéder dans notre amitié d’hommes. Je trouvais cela déplacé. Certes je fis quelqu’effort pour parvenir entre nous trois à une estime de compromis mais de guerre lasse et devant la mauvaise volonté de madame, je dus abandonner. J’en vins à haïr mon ami de s’être aliéné définitivement à une pareille pécore.A présent j’invitais ce monstre à déjeuner. Je ne l’avais vu depuis deux ans. Je fus frappé que cette petite brune au look si grêle et si insignifiant avait changé en mieux au terme des quarante ans. Elle était de ces femmes banales au départ qui gagnent en charme voire en beauté avec les ans tandis que balıkesir escort leurs rivales et opposées au contraire se dirigent vers un inéluctable étiolement. Elles prennent leur revanche sur le sort. Cela corroborait la rumeur. Surtout on m’affirmait qu’elle avait prédilection pour les jeunes mâles en devenir en quête de pouvoir et gloire lesquels couchaient que pour cela.J’allais avoir tout à l’heure une infâme couguar face à moi. Son mépris devrait s’augmenter qu’elle ne baisât pas avec de vieux cons comme moi si pochards et gros. Son gibier étant le beau gosse,le golden boy, amants d’avenir. A l’instar du mari j’étais coché à la case « Has been ». Je tâchais de prendre cependant sur moi. Néanmoins je choisis d’évacuer le trop d’adrénaline en m’offrant une mise en scène. Je décidais non moins que de la draguer. Du moins de la courtiser par jeu comme il peut-être d’usage entre un copain et une vieille copine. Elle n’en serait pas moins surprise.Lorsque je la vis entrer dans le restaurant rayonnante suscitant l’intérêt de tant de mâles je sus que ma drague aurait quelque fondement. Que le gibier somme toute valait le coup. En tant qu’inconnue dans une soirée je l’eus sûrement dragué. Elle arborait alors un tailleur noir. Je remarquais qu’elle portait de hauts talons aiguilles qui lui prononçait habilement la chute des reins. Sa jupe étant trop courte on lui distinguait le port de bas quand elle était assise. Bref par maints indices je décelais la garce. Son regard nouveau car effronté semblait couronner le tout. Je bandais. Indice irréfutable.Elle prit mal ma parodie de drague. Elle dut croire que je voulais me moquer voire l’humilier. Je lui avais donné souvent la preuve de mon mauvais esprit. Quoiqu’il en soit je m’enlisais et notre entrevue risquait de tourner court. Bref je crus devoir mettre d’un coup les pieds dans le plat. Je lui dis d’emblée que son mari était gravement en danger. Elle vit que je ne plaisantais pas. Elle perçut roder un péril mystérieux autour d’elle et son mari. Elle n’avait eu de cesse de protéger toujours ce nigaud. Elle se demandait encore en quelle galère il s’était allé mettre. Elle me scrutait avidement.Je n’épargnais aucun détail. La restructuration du groupe serait violente. Les charrettes seraient bien remplies. On taillait dans le gras. Le mari se trouvait dans le mauvais segment. Qui plus est il avait trop d’ennemis. On trouverait bon de se débarrasser d’un incompétent. Elle mesura tout le danger. En effet il aurait besoin d’un sauveur. J’étais disposé à jouer ce rôle. Clignant de ses jolis yeux de myope elle ne percevait pourquoi je lui demandais son aval et que je ne courras spontanément au secours de mon ami. A quoi bon ce déjeuner ? Elle subodorait déjà quelques coups tordus.Un moment elle regarda autour d’elle comme si elle eût crut qu’on nous filmait voulant la faire chanter. Elle m’adressait des regards par en dessous et fort hostiles. J’avais le sentiment d’une panthère enfermée de mauvaise grâce dans une cage hâtivement montée. Tout cela ne faisait guère rire. L’heure était grave. Je voulais à la fois sauver le pote et sauter la femme. Celle-ci d’une façon ou d’une autre devrait coopérer. J’hésitais sur la façon de lui présenter la chose. En fait mon ton devint sensiblement plus agressif. Elle de même lâchant enfin : « Explique. Où veux-tu en venir ? »Penaud je baissais enfin les yeux ne parvenant à l’affronter en son regard. J’affectais regardant ma montre d’être occupé par tout autre chose. Je lui dis qu’un important rendez-vous m’attendait. Qu’il importait qu’elle comprit le danger qui menaçait son mari. Bref que je l’informerais de tout cela faisant le nécessaire. Quasiment je m’enfuis tout en réglant la note. Perplexe elle me vit m’éloigner. J’étais tout colère et honteux. J’étais prêt à renoncer à mon plan envisageant d’un coup sa veulerie et tout son ridicule. Je me repris plus loin au gré d’un bar buvant un vieux Whisky.Le soir-même, je reçus de la miss ce SMS laconique : « Que suis-je idiote ! Tu veux que je paye de ma personne n’est-ce pas ? » Rageur je répondis non moins laconique : « Tu as parfaitement compris. » A partir de là je commençais à travailler en sous main pour déminer le terrain et sauver le copain sans en référer ni à lui ni surtout à sa femme. Je me gardais de la recontacter. Je voulais la laisser dans l’angoisse de mon silence. Je voulais qu’elle s’avise que par son attitude elle avait peut-être compromis escort balıkesir son mari. J’escomptais qu’elle me relança bientôt. Je savourais déjà et par avance.Je n’attendis pas longtemps. Par un SMS elle me relatât une conversation avec son mari lequel était mort d’angoisse quant à son avenir. Elle s’était bien gardée de lui rapporter notre conversation dessus. Toutefois elle comptait plus que jamais sur moi. Elle finissait. « Je suis résolue à tout pour cela. » Je lui répondis que je sollicitais une entrevue avec elle où j’apporterais vraisemblablement de bonnes nouvelles. Elle me signifia sa disponibilité deux trois après-midis et soirs la semaine prochaine. Rendez-vous fut pris à l’hôtel Concorde, porte Maillot. J’y avais quelques habitudes.J’y allais fébrile tel la jeune fille à sa première rencontre d’amour. J’étais furieux de cela d’autant que la femme au milieu du salon qui se leva à mon approche me parut flegmatique tout de sang-froid. J’eus du mal à la reconnaître en cette belle créature maquillée et dont on décelait la mise sexy sous le manteau. Il est indubitable qu’on la prenait alentour pour une de ces escort-girls qui écument le lieu. D’ailleurs j’en consommais régulièrement ici. Bref il n’y avait rien de choquant que je leur infligeas cela. Je n’en voulus pas moins échapper très vite à leur grand nombre de regards.Je choisis avec la complicité d’un serveur un salon attenant où nous pouvions voir sans être vu. Illico je commandais du champagne le meilleur. En parfait rustre vulgaire je faisais chauffer ma carte bleue. Un peu de jugeote ou plutôt de sang froid m’eût représenté qu’une telle femme ne pouvait être impressionnée de cela. Je me ruais dans ma médiocrité. J’esquivais cependant le sujet principal commençant de plaider pour un jeune neveu qui cherchait un stage dans la finance. Auquel elle pouvait aider. Je vis que ce différé et cette distraction l’agacèrent. Je me repris entre temps.Pour la calmer je l’assurais qu’en ce lieu il était permit qu’elle fumât. Elle passa sa colère sur sa première cigarette. D’un simple geste elle évacua le problème du neveu. Je n’avais qu’à lui transmettre le CV de celui-ci. Elle s’était enfin démis de son petit manteau m’offrant sans vergogne une mini-jupe au sens strict et qui eut paru dans la rue limite indécent sauf en des lieux notoires de prostitution. Avait-elle ainsi voulu annoncer la couleur ? Je crus devoir y répondre par une cruelle ironie. « Je te remercie d’avoir honoré le rendez-vous par un chic que je ne te connaissais pas. »Elle répondit cinglante : « Tu vas même rajouter que tu me méconnaissais sous ce jour. » Elle me signifia sans ambages qu’elle n’était point dupe. Que j’avais du me renseigner ou du moins que j’avais apporté crédit à des ragots parvenus jusqu’à mes oreilles. Nous n’étions pas nés de la dernière pluie. Elle escomptait jouer cartes sur tables. Elle me jeta : »Suis-je assuré que mon homme sera sauvé ? « Je répondis patelin : »Tu en auras bientôt la preuve. » Elle parut à ce moment réellement soulagé. Se renfonçant dans le fauteuil, elle dit : « Tu as vraiment le bras long. Je t’en saurais gré. »Quoique j’ai pu penser, elle était venue ici accablée sous une trop grande tension. A présent elle mettait une main devant ses yeux formant cela comme en prière. Je me tins coi respectant ce retrait. Je pressentais qu’elle m’accorderait ce dont j’avais envie. Cela ne méritait ni hâte ni triomphe. Je vis que j’avais deviné juste car un sourire ami illuminât maintenant sa face. Elle susurra : « Tu es un champion et j’ai je te l’avoue douté de toi un temps. » Elle avait disant cela écarté soudain ses cuisses. Outre de porter des bas elle affichait au milieu une culotte fendue livrant sa chatte.Elle demeura longtemps ainsi. Je crus devoir examiner sans vergogne comme on fait du cheptel qu’on va négocier. Je lui savais gré de jouer à la perfection son rôle de putain. On pouvait même croire que cela l’amusait. Elle avait du le faire volontiers avec certains de ses amants. J’avais pu craindre qu’elle se forçât pour moi ou donnât à notre entrevue un ton acre et grinçant qui eût sûrement gâché ma fête. Elle acceptait volontiers que je remplis plusieurs fois nos verres. Elle concevait que pour monter au front un soldat se doit d’être un peu ivre. La bouteille fut vidée.J’adoptais un ton plus leste aux limites vulgaires. Sardonique j’émettais l’hypothèse que son mari ne lui connût jamais une pareille tenue. Elle répondit balıkesir escort bayan sans ambages qu’en effet elle réservait cela aux amants. Elle s’empressa d’ajouter que le sexe avait été vite évacué de leur couple. Elle précisa : Tu sais fort bien que mon homme et ton ami nous vaut mille fois. Pour cela nous devons le préserver. »j’acquiesçais. J’admettais qu’elle voyait juste. Tout au moins savais-je que j’étais un coquin et de la pire espèce. Quant à elle je ne savais encore si je devais la ranger dans la catégorie : « Putain. »Espiègle elle voulut savoir si j’avais amené ici maintes de mes conquêtes et quel en était le genre. Je convins que celui-ci était des fois tarifé. Cela oscillait entre la blonde pute slave et la brune exotique sud américaine. J’avais en cela le goût du pékin banal. Elle ajoutât : « Dois-je en être flattée ? M’as-tu obtenu gratuitement ? De toute façon tu aurais sauvé ton ami sans moi n’est-ce pas ? « Je répondis avec la dernière sincérité que j’aurais de toute façon secouru mon ami. Un sourire large barra alors son visage témoignant qu’elle me croyait. Le champagne nous montait tous deux à la tête. Elle avait retiré un pied de son escarpin et jeté celui-ci vers moi sur la table basse.Ce pied en son bas noir semblait comme monstrueux vivant déjà d’une vie autonome. On eut dit une avant-garde d’une armée vicieuse et résolue. Je voyais en cet organe nerveux et tant lascif tout un monde de promesses. J’y tendis la main pour le caresser. Le serveur qui amenait une seconde bouteille ne parut point ému de cette licence. On avait droit à tout en ce salon. Nous aurions en effet pu nous autoriser à des choses plus osées. Pour l’instant je me contentais de caresser ce pied. Elle me contait qu’un beau chauffeur d’ambassade africaine l’avait amené une fois ici en une chambre.Dans un regard de défi elle ajouta : « J’ai une prédilection pour les beaux étalons. Perfide elle me renvoyait d’un coup à mon statut de ringard. Elle me concédait et me faisait une fleur ce jour-là. N’étais-je point un triste sire avec mes cheveux blancs et ma bonne bidoche ? Il est vrai que je recourrais au viagra pour la posséder. Elle avait choisi de prendre en bonne part cette relation grotesque. Elle me dit : « J’ai hâte de monter là-haut avec toi. La vue y est magnifique. » Nous partîmes champagne et seau de glaces sous le bras. Dans l’ascenseur elle se laissa embrasser.Je la tripotais sans cesse. Me traitant de vieille baderne j’avais droit à la ravaler en prostituée de bas étiage. Ma main glissât sous sa jupe. Mes doigts avaient déjà fureté vers sa chatte et son mignon trou de cul. La vue était en effet magnifique. Nous surplombions tout l’Ouest parisien avec l’échangeur du périphérique et le bois de Boulogne adjacent. A cette heure le soleil déclinantnous inondait de lumière conférant cette ambiance d’or à nos deux corps. Je tins à ce qu’elle suçât devant la baie vitrée comme au su de tout le monde. Elle s’exécutât en cela avec zèle.Hormis quelques anges ou démons qui pouvaient nous observer à cette hauteur ? Elle pompait sans réticence ma queue. On eût dit qu’elle passait un examen et voulait convaincre un jury de sa compétence. Je songeais au pauvre mari qui lui ignorait tout ce talent. Il n’eut pas survécu à cette révélation. Sa femme était une traînée. Le sexe et son assouvissement lui étaient consubstantiels. A cette heure j’eus pu être n’importe quel homme nanti d’une bite. Nous baisions tels deux bêtes en toute conscience. Je la pris debout et par-derrière contre la baie si chaude et phosphorescente.Son petit cul répondait avec flamme à chacun de mes coups de boutoir. Elle ponctuait cela de grognements et d’interjections vulgaires. Que de chemin accompli entre la femme digne et austère que j’avais connu et la gorgone exaltée et lubrique qui m’exhortait maintenant à la mieux défoncer.Elle avait raison je m’étais pourvu de substances pour ne plus débander. Mon pieu pourrait la contenter et à n’en plus finir. Nous nous escrimâmes en peu de temps à toutes les positions dans le lit. J’appréciais qu’elle goûtait qu’on l’enculât. J’en avais tant rêvé ces derniers temps.Nous marquâmes une pause cependant aux alentours de seize heures. Elle me rassura. Nous avions encore quatre bonnes heures devant nous. Notamment elle acceptât que nous dînions plus tard et que je fis monter des plats raffinés. Nous allions assister ensemble à la chute voire à la mort du soleil. Il ferait plus sombre et froid. Nous serions des assassins. Cette perspective nous fit rire. Nue son corps demeurait remarquable. Je ne m’attendais à une si belle surprise. Par trop timoré j’hasardais cependant que j’aimerais la revoir et la baiser de nouveau. Elle sembla ne pas refuser.

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