La fille de l’agence immobilière

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Babes

La fille de l’agence immobilièreElle portait une petite robe kaki qui s’ouvrait devant, munie d’une fine ceinture. Selon les mouvements qu’elle faisait, on voyait les bords de son soutien-gorge noir. Elle avait les cheveux bruns et lisses, coupés au carré. Un agréable visage. Elle s’appelait Virginie. Elle n’avait pas trente ans. Elle avait été engagée deux mois auparavant dans une agence immobilière. Et c’est elle qui me fit visiter une maison à louer qui aurait pu me convenir, située dans un petit village. C’était au mois de juin et il faisait très beau.Au terme de la visite, je fis part à la jeune femme de mes réticences, à cause d’un petit paquet de défaillances que j’avais relevées. Le loyer n’était pas excessif, certes, mais il y avait quelques travaux à faire. Et de ce que j’avais compris, les propriétaires n’étaient pas disposés à les effectuer.« J’en ai marre, me dit Virginie. »Etonné, je me suis tourné vers elle. Elle s’était appuyée contre le rebord d’une fenêtre de la cuisine. Elle regardait le sol à ses pieds.« Vous en avez marre de quoi ? dis-je. »Elle me jeta un court regard et répondit :« Du directeur de l’agence qui me teste sur cette maison que je n’arrive pas à refourguer à quelqu’un. Vous êtes le onzième client à la visiter. Je n’y arrive pas. Vous avez raison, il y a trop de travaux à faire. »« Vous pensez que votre directeur vous teste ? »« Je ne le pense pas, je le sais, dit-elle en remuant négativement la tête. C’est comme ça que les choses se passent dans le métier. Quand vous arrivez, on vous met au défi de vendre ou de louer de sales affaires, histoire de vérifier ce quoi vous êtes capable. »Elle portait des nu-pieds plats. Elle se tenait en appui sur le rebord de la fenêtre, ses fesses posées dessus. Je distinguais la naissance de ses seins, et j’aurais mis ma main au feu que si elle avait défait le bouton du bas de sa robe, on aurait vu sa culotte, ou vraiment la limite.« J’en ai marre, répéta-t-elle. »Je me suis approché d’elle en disant :« Que faisiez-vous avant de travailler pour cette agence ? »Elle a levé les yeux vers moi.« Des remplacements occasionnels dans d’autres agences. Et avant cela, des études de commerce. Je n’avais pas particulièrement envie de vendre et de louer des maisons, mais je n’ai trouvé que ça pour l’instant. Et vous, vous faites quoi ? »J’étais à un mètre d’elle.« J’écris des livres pour la jeunesse. »« Oh, ça doit être chouette ? »« Oui, j’aime ce boulot, mais ce n’est pas forcément rémunérateur. D’un livre à l’autre, je nage dans l’incertitude. Mais je ne sais pas faire tuzla escort grand-chose d’autre qu’écrire des histoires, alors voilà… »« C’était une vocation ? »« Oui. Et vous, vous aviez une vocation ? »Elle soupira et se remit à regarder ses pieds en disant :« Je voulais juste être marchande, comme plein de gamines. Marchande de fruits et de légumes. »« Il n’est pas trop tard pour le devenir, non ? »Elle eut un petit rictus :« Non. Peut-être que non. Mais je suis nulle en jardinage. »« Dans ce cas, épousez un beau jardinier et allez vendre ses fruits et ses légumes sur des marchés. »Elle se marra en me regardant, puis elle dit :« Heureusement qu’il y a parfois des clients sympathiques qui savent me redonner le sourire. Ça fait du bien. »« Il y en a des désagréables ? »« Oh que oui, dit-elle en croisant ses pieds au sol. »Plus j’étais près d’elle, mieux je voyais son soutif. Elle n’était pas très grande et ses jambes étaient plutôt bronzées. Je me suis demandé si elle avait des marques de maillot sur son corps.J’ai dit :« Je suis ravi de vous redonner le sourire. »Elle a souri de nouveau et répondu :« La dernière fois, dans cette maison, j’ai fondu en larmes en présence d’un couple absolument infect. A les entendre, c’était ma faute s’il y avait plein de travaux à faire pour que ce soit habitable. »« En larmes ? A ce point-là ? »« Oui. Il m’en faut peu. La moindre contrariété. »C’était un soutien-gorge en dentelle. Ses bords étaient très fins. Je me suis demandé si elle portait une culotte assortie, ou bien dépareillée. J’ai fait un demi pas de plus vers elle et j’ai dit :« Et ces clients vous ont laissé pleurer ? Ils ne vous ont même pas pris dans leurs bras pour vous consoler ? »« Non. C’étaient deux imbéciles orgueilleux. Ils m’ont laissée pleurer et ils sont repartis. »J’ai soupiré à mon tour et dit :« Moi, je vous aurais prise dans mes bras. »Elle a levé les yeux avec un petit sourire et répondu :« Vous êtes gentil. »« Je suis sincère. »« Je le sens bien. Il y a peu de clients comme vous. »« Mais il y en a tout de même, de temps en temps ? »« Oui, heureusement. »« Des clients qui vous prennent dans leurs bras ? »« Oui. »« Et qui vous font des câlins ? »« Oui. »Elle me regardait toujours, mais son sourire s’était effacé. Je voyais son soutif, et son pied gauche s’était mis à remuer nerveusement contre le droit. Elle portait une petite chaine en or au cou.J’avançai d’un pas et lui touchai les cheveux.« Je suis sûr que vous parviendrez à louer cette maison, tôt ou tard. »« Vous croyez ? »« Oui, dis-je en lui caressant escort tuzla l’épaule du bout du doigt. »Elle baissa les yeux pour suivre la trajectoire de mon doigt, puis, quand j’effleurai la bretelle de son soutif, elle me regarda et répéta :« Vous êtes gentil. »Je m’étais mis à bander. J’étais en train de toucher la bretelle de soutif d’une femme qui avait au moins vingt ans de moins que moi, et elle me disait que j’étais gentil. Elle me laissait faire sans protester.Au moment où mon doigt pinça la bretelle, je dis :« J’ai des mauvaises pensées. »Elle pouffa et répondit :« Ce n’est pas grave. Ce sont des choses qui arrivent. »« Ça ne vous choque pas ? »« Non, il m’en faut plus pour être choquée. »« Qu’est-ce qui vous choque ? »Elle détourna le regard, comme pour chercher sa réponse dans la pièce vide où l’on se trouvait.Puis, sans me regarder, elle dit :« L’indifférence me choque. »La fenêtre dans son dos était ouverte. Elle dominait un petit jardin dans lequel des dizaines d’oiseaux sifflaient à tue-tête. De temps en temps, on entendait une voiture passer dans une rue proche, invisible. Ou un tracteur. Et un chien qui aboyait, au loin. La cloche de l’église qui donna un coup.J’attendis que Virginie me laisse défaire le bouton du bas de sa robe pour lui dire :« Des clients vous font vraiment des câlins ? »« Oui, dit-elle en regardant ma main qui écartait les pans de sa robe, en haut de ses cuisses. »Sa culotte était assortie à son soutif. Noire en dentelle. Tendue sur un pubis qui me sembla complètement lisse.Je continuai :« Et vous vous laissez faire à chaque fois ? »« Oui. »« Vraiment à chaque fois ? »« Ça n’arrive pas si souvent, dit-elle en regardant mes doigts défaire le bouton du dessus. Ça fait du bien. »Je fis sauter le troisième bouton, puis la ceinture fit obstacle au suivant. Alors je fis redescendre mes doigts vers sa culotte.C’est elle qui défit la ceinture, tout en me regardant et en répétant :« Ça fait du bien. »Elle dénoua la ceinture, tandis que je touchais les lèvres de sa chatte au travers de sa culotte semi-transparente. Ensuite, elle s’en prit aux boutons suivants, jusqu’en haut. Jusqu’à ce que les pans de sa robe s’ouvrent complètement. Et là, je ne pus pas m’empêcher de porter une main à son sein gauche que je me mis à tripoter.On échangea un baiser sur la bouche, puis elle répéta encore une fois :« Ça fait du bien. »Un peu plus tard, elle me suça la queue.Elle avait ôté sa robe pour la poser au sol, mais elle avait conservé ses sous-vêtements. Seule une bretelle de soutif pendait sur son bras tuzla escort bayan gauche. Ça me convenait. Elle avait d’assez grosses lèvres et elle suçait divinement bien. Ma queue était raide comme un bout de bois et mon gland avait le volume d’un abricot.J’ai touché le haut de son crâne en disant :« Allez-y doucement. »« Pourquoi ? dit-elle. Vous allez vite gicler ? »« C’est possible. »Et elle s’est remise à sucer, plus doucement, sans pincer mon gland avec ses dents.De temps en temps, elle lâchait tout et me regardait.De temps en temps, je me penchais en avant pour lui tripoter un nichon.De temps en temps, j’avais un mouvement de recul à cause du sperme qui montait dans ma queue. Une petite goutte perlait alors au bout de mon gland, et Virginie la cueillait sur le bout de sa langue. Elle l’avalait, puis elle se remettait à me sucer, délicatement.A un moment donné, je lui ai dit :« Enlevez votre culotte et prenez la position que vous voulez. »Elle s’est exécutée aussitôt. Sa chatte était effectivement lisse et elle avait une belle paire de fesses bien rondes. Elle a jeté sa culotte dans la pièce vide, puis elle s’est mise à quatre pattes sur le plancher en se cambrant. Je l’ai prise comme ça, en cramponnant fermement ses fesses. En observant ma queue qui allait et venait entre ses grosses lèvres humides. Elle se branlait le clito. Je sentais ses doigts s’agiter juste sous le niveau de ma queue en mouvement. Elle touchait mes couilles par moments.Elle a dit :« Ça fait du bien. »Puis je me suis retiré pour gicler.Sur son anus.Un sperme laiteux qu’elle s’est mise à étaler pour l’empêcher de couler dans sa chatte. A la troisième giclée, j’y ai plaqué mon gland. C’était collant et des gouttes continuaient de venir dans le conduit de ma queue. Virginie les a cueillies avec ses doigts.Puis nous nous sommes rhabillés.La semaine suivante, elle me fit visiter deux autres maisons.Celle d’après, je trouvai celle qui me convenait. Pas très chère, ni très grande. Elle était meublée. C’était la première fois que je prenais Virginie sur un sommier confortable. La première fois qu’elle se foutait vraiment à poil, sans soutif. La première fois que je giclai au fond de sa chatte, sans prendre la peine de me retirer. La dernière fois également, puisque j’avais trouvé une maison qui me convenait.Il y a deux mois de ça, j’ai recroisé Virginie sur le marché d’un village. Il y avait une poussette devant elle, mais aucun homme à ses côtés. Elle avait mis un petit garçon au monde. Il me ressemblait un peu. On a échangé des sourires, puis des bises, et on a discuté. On est allé prendre un café à la buvette du marché, et le petit ne m’a pas quitté des yeux un seul instant pendant ce temps.J’ai épousé Virginie.Elle bosse dorénavant dans une autre agence immobilière.Et ça lui fait du bien.:::

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