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Fin de soirée étudiante, 5 h du matin. La nuit commence à claircir. Partout, des verres en plastique et des cadavres de bouteilles jonchent les tables et le sol. Les conversations se tarissent. On tire les rideaux. Un à un, les gens se laissent tomber à droite et à gauche pour dormir.

Allongé sur un matelas gonflable posé à même le sol, j’entends un gémissement de protestation s’élever du canapé au-dessus de moi où Thibaut vient de s’affaler, écrasant à moitié Judith qui y comatait déjà.

Non loin de là, échouée à plat ventre sur un divan, Marjorie somnole, fesses à l’air. Entre la fatigue et l’alcool, on dirait que la demoiselle a complètement zappé l’option culotte. Elle a sombré tête la première dans les coussins, faisant peu à peu remonter sa nuisette sur ses hanches, ce qui exhibe son popotin à la vue de tous à son insu. En y regardant bien, on verrait même quelques petits poils dépasser.

Je suis en train de finir de m’installer pour la nuit en zyeutant dans sa direction quand la porte s’ouvre et Damien entre dans le salon, déambulant en caleçon, une bière à la main. En passant à côté de Marjo, il s’arrête pour mater un peu le spectacle. Je le vois se marrer tout en profitant de la situation pour se rincer l’œil en bon voyeur. Amusé par la posture cocasse, à la fois vulnérable et obscène de notre pote, il attrape le bord de sa robe et le relève sur son cul pour mieux admirer la vue et sort son portable. Ainsi débraillée, son cul et son con laiteux à l’air, l’inconsciente offre un spectacle vraiment trivial. L’espace d’un instant, la lumière blanche de l’appareil photo illumine son entrejambe. Autour de nous, quelques dormeurs agacés protestent à mi-voix contre l’usage du flash.

J’entends Thibaut pouffer.

« Quel salopard. »

C’est typiquement le genre de dossier susceptible de se retrouver épinglé dans la conv de demain. De son côté, Damien continue de tourner autour de Marjo en quête d’une nouvelle connerie à faire. Enhardi par l’alcool, il finit par tendre un index intrépide pour venir titiller le bout de ses lèvres intimes. Seul un léger frisson agite la croupe de notre amie en réaction.

D’humeur taquine, l’impertinent réitère son insolence et cette fois, la belle change de position, remontant un pied le long de sa jambe, ce qui a pour effet malencontreux d’exposer encore davantage son intimité à son tourmenteur.

Tentant le tout pour le tout, Damien place l’extrémité de son majeur sous le sexe de notre amie, au niveau de la commissure de ses lèvres, et effleure le capuchon de son clitoris. Après un petit mouvement de recul initial, le con de la jeune femme s’incline de lui-même pour venir chercher la caresse au lieu de se défiler. D’un doigt expert, Damien commence à la branler doucement.

Dans Adana Escort son sommeil, Marjo gémit faiblement. La plaisanterie commence à aller un peu loin. N’empêche, je me demande quel rêve mouillé son subconscient a bien pu improviser pour justifier le plaisir soudain qui lui chatouille l’entrejambe.

D’aussi loin que je me souvienne, Damien a toujours instauré une petite tension sexuelle entre eux. Elle ne l’a jamais encouragé, menfin, elle ne l’a jamais franchement recadré non plus. Parfois, lorsqu’ils se chamaillent, il la menace pour rire de lui « mettre une bonne branlée » et ils chahutent jusqu’à ce qu’elle ait le dessous et le supplie d’arrêter. Depuis qu’ils se connaissent, quand elle n’est pas en couple ou que son mec du moment n’est pas dans les parages, il arrive régulièrement qu’il lui mette une main aux fesses en soirée, juste « pour rire ». Au fil du temps, cette palpation affectueuse s’est transformée en claque sonore, administrée à pleine main sur son cul rebondi que moulent avantageusement ses jeans, ce qui la fait sursauter à chaque fois en lui arrachant un petit cri de surprise, généralement suivi d’un « Damien! » exaspéré, comme si elle avait affaire à un garnement turbulent. Turbulent, soit, mais bon, un garnement de 23 ans tout de même, ne l’oublions pas!

Car sous couvert d’une plaisanterie lourdaude mais en apparence inoffensive, je mettrais ma main au feu que cette fessée est l’expression d’une pulsion bien réelle que Damien, maqué pendant deux ans à une pote à elle et célibataire depuis, extériorise ainsi. Une sorte de soupape de sécurité, qui aide à évacuer les tensions et à apaiser leurs rapports. Ou bien une liberté déplacée qu’il prend sur elle et qu’elle se sent obligée de prendre à la rigolade, à vous de voir.

Je me suis souvent demandé combien de temps la marque de ses doigts met à disparaître de la peau blanche de ses fesses, qu’il agrippe toujours un peu plus longtemps que nécessaire à la fin du geste. Je sais d’expérience que chez certaines filles, ce genre de molestation suscite une excitation peu avouable. Je me demande si tel est son cas quand revenue s’asseoir parmi nous en faisant mine de rien, l’empreinte de sa main avide zèbre encore son cul de garce.

Bien sûr, il y a toujours de petites tensions de ce style au sein d’un groupe, a fortiori à un âge où vos hormones en ébullition vous travaillent au corps. Nul doute que si les conventions sociales n’existaient pas, nous nous baiserions tous comme des bonobos. Et concernant Damien, j’ai une petite idée de vers qui il se tournerait en premier.

Bref, il y a un petit passif entre ces deux-là.

Accroupi près de la demoiselle, Damien continue de la branler un moment en la matant d’un air goguenard. Adana Escort Bayan Tête plus basse que son postérieur, sa robe relevée sur son cul, chatte offerte à ses bons soins, elle est vraiment à sa merci. Troublé par ce traitement intime, le sommeil de la belle est de moins en moins paisible. Je l’entends soupirer et gémir en se tortillant. Son cul remue doucement, agité d’un mouvement obscène qui vient coller sa fente au doigt de son tortionnaire lorsque celui-ci cesse de la tourmenter. Ce faisant, elle exhibe sa moule entrouverte sans la moindre retenue. Le nez à quelques centimètres de son intimité, Damien ne la quitte plus des yeux, amusé et fasciné par sa dépravation inconsciente. Il semble de plus en plus absorbé par son œuvre. Même de là où je suis, je peux voir la petite fleur rose éclore de seconde en seconde sous ses doigts.

Lorsqu’elle change à nouveau de position, manquant de lui coller son pied dans la figure, il se redresse. Le diable sait ce qu’il a derrière la tête maintenant. Sans se démonter, le loustic retire son caleçon et vient s’étendre contre elle. De toute évidence, il n’y a pas vraiment de place pour deux sur le sofa. A moitié réveillée, la demoiselle grogne mais ne s’offusque pas de la situation outre mesure. Je ne crois pas qu’elle ait réalisé que son colocataire de fortune est nu comme un ver, et qu’elle-même n’est pas beaucoup mieux. Elle doit simplement penser qu’il cherche à gratter une place pour la nuit. Au fil des années, il leur est déjà arrivé de dormir ensemble dans des circonstances similaires, en tout bien tout honneur, bien sûr.

– Damieeeeeen… l’entend-on grommeler.

Mais le malotrus ne se déballonne pas. Pratiquement allongé sur elle à présent, il entreprend de se frotter lentement à elle. J’écarquille les yeux. Contre toute attente, elle se laisse faire sans réagir. Après s’être astiqué un bon moment contre ses fesses, le bougre attrape son sexe raidi d’une main et le colle à sa fente, cherchant l’entrée à tâtons. Ébahi, j’observe son gland aveugle glisser le long de ses babines luisantes, buter à l’entrée de sa petite grotte et repartir vers l’avant. A chaque fois, Marjo gémit en gigotant. Il répète l’opération plusieurs fois, flairant sa petite chatte toute proche, avant de s’y enfourner enfin de tout son long. Marjo couine. Sans un mot, Damien commence à la prendre au milieu du salon.

J’hallucine. Au lieu de se soustraire à lui, de le repousser, de l’envoyer paître, la demoiselle recommence à gémir doucement. Il me semble même qu’elle cambre un peu les reins pour s’offrir à la saillie. Petit à petit, elle se met à accompagner d’elle-même ses mouvements de petites oscillations du bassin. Je le vois l’écraser de tout son poids dans les coussins, allongé Escort Adana sur elle. Elle plie ses genoux vers l’intérieur et tortille ses pieds de plaisir.

Hypnotisé, je cherche mon portable d’une main pour filmer la scène. Pour la postérité.

Tous deux sont abrutis par l’alcool, insensibles à ce qui les entoure. La seule chose à laquelle ils pensent pour le moment, c’est copuler. Elle écarte les jambes de son mieux pour faciliter ses allées et venues. Dans cette position, difficile pour elle de faire mieux.

Un rayon de lumière commence à poindre au bord de la fenêtre. Damien se redresse pour tirer le rideau, et Marjo reste là une seconde, le cul en l’air. Sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits, il la reprend et recommence à la besogner avec application.

Un grognement en provenance du canapé me fait tourner la tête. Tout aussi excité que moi par la situation, Thibaut en train d’écraser de son mieux la bosse qui déforme son caleçon contre les grosses fesses de Judith, à côté de lui, tout en s’efforçant de ne pas la réveiller. Les deux globes de chair lui massent la bite à travers le tissu du mini-short de nuit. Le mouvement fait progressivement glisser le vêtement vers le bas, dévoilant peu à peu le début de la raie du cul de la petite blonde, trop fortement alcoolisée pour réagir ou émerger de sa torpeur.

Je reporte mon attention sur Damien et Marjo, désormais à quatre pattes. La petite passade s’est transformée en accouplement en bonne et due forme.

Chaque coup de rein est ponctué d’un soupir, d’un gémissement ou d’un grognement d’aise. Toujours en levrette, il se penche à sa hauteur pour l’embrasser par derrière et elle se dévisse le cou pour lui rendre son baiser à pleine langue.

Avec la fatigue et l’alcool, toutes les barrières sont tombées. Ne reste que le désir d’assouvir l’incendie qu’il a allumé entre ses jambes. Après tout, c’est un mâle, et maintenant qu’elle a la minette en feu…

Au bout d’un moment, le clapot contre son cul commence à accélérer. J’entends ses geignements étouffés monter en crescendo. Ils s’arc-boutent bientôt tous les deux, ses mains cramponnées à ses flancs, juste au-dessus de ses hanches, la tenant agrippée comme une chienne. Je vois ses orteils se crisper tandis qu’elle gémit sa jouissance.

Sur le canapé, Thibaut se branle en grognant au-dessus des fesses de sa voisine. Il jouit en grosses giclées sur son cul et le bas dénudé de son dos, qu’il macule de sa semence.

Leur instinct satisfait, Marjo et Damien s’affalent l’un sur l’autre, rattrapés par la fatigue. Tout s’est fait sans qu’une seule parole ne soit échangée.

Ils se sont rendormis comme ça, lui sur elle, encore nus. Je les ai entendus remettre ça dans la matinée, pendant que les autres dormaient, comme deux bêtes en rut. Vers midi, ils se sont levés, et plus aucune allusion n’a été faite à ce sujet.

Seule une vidéo sombre et un peu floue, dans les tréfonds de la mémoire de mon portable, m’assure régulièrement que je n’ai pas rêvé.

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