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Babes

MilaJe suis une jeune fille bulgare originaire de la campagne. Chez moi il n’y avait pas de travail et quand j’ai été majeure ma famille m’a dit de partir gagner de l’argent en ville. Là j’ai travaillé un peu comme femme de ménage. Un jour une copine m’a dit qu’elle partait à l’étranger avec un homme qui fournissait du travail là-bas. Je lui ai dit « je peux y aller avec toi ». C’est comme ça qu’on a voyagé vers une grande capitale avec un homme qui organisait tout. Comme je ne pouvais pas payer les frais il m’a fait signer des papiers puis il m’a baisé brutalement dans sa voiture plusieurs fois pendant le voyage. Je n’avais pas d’expérience. Je n’ai pas eu de plaisir contrairement à ma copine qui jouissait chaque fois devant moi en me regardant pendant qu’il la défonçait.Arrivé nous avons été logé dans un squat dégoûtant où s’entassait dans une grande promiscuité des gens venus principalement de pays de l’est. L’homme avait gardé mes papiers et on n’avait rien à manger. Un soir il me dit tu vas gagner sur le trottoir de quoi vivre ici. Et il me plaça sur un grand boulevard en m’expliquant les règles. « Quand un homme te veut tu dis le prix, tu montes dans sa voiture, tu lui montres où se garer dans le noir sous les arbres, tu le fais payer, tu caches l’argent dans ta chaussure, tu fais tout ce qu’il veut ». Il m’expliqua qu’on serait ankara escort toujours deux filles sur le même endroit pour qu’on se surveille. « Si la police t’arrête tu ne dis rien et tu reviens au squat quand elle te libère ». Je devais rembourser le voyage pour qu’il me rende mon passeport. Pendant un an j’ai baisé au moins dix fois chaque nuit. Les clients étaient parfois vicieux, aimant me faire mal pour arriver à jouir. Quand je me révoltais ou ne gagnais pas assez le mac me battait en me laissant comme une loque sur mon matelas.Au bout d’un an j’ai réussi à trouver mon passeport dans la cachette que le mac utilisait et je me suis enfuie sans savoir où aller. Je savais seulement qu’il fallait m’éloigner vite pour ne pas être retrouvée. J’ai dormi sous des ponts, dans des chantiers. Après quelques semaines dans la rue où je faisais la manche j’ai rencontré une femme qui m’a parlé dans ma langue. Elle m’a emmené chez elle, m’a fait prendre un bain, m’a donné une jupe en toile et un tee-shirt, m’a fait manger. Le soir j’ai pu dormir dans un cagibi au sous-sol sur un matelas posé au sol. J’ai vu que la nuit on fermait la porte à clé.Le lendemain la femme assez âgée me fit venir dans un bureau où se tenait aussi un homme assez gros du même âge. Elle me dit « tu me plais, tu peux rester ici quelques temps, je garde ton passeport dans mon coffre pour qu’il ne s’égare pas, tu feras le travail dans la maison, et tu nous feras plaisir à mon mari et à moi quand on te le demandera. Tu seras nourrie, habillée, logée, tu peux aller au jardin mais tu n’as pas le droit de sortir dans la rue. » Es-tu d’accord ? Sans savoir ce qui m’attendait, je répondis «oui merci madame ».Les premiers jours je découvris le travail à faire laver, repasser, cuisiner, tenir la maison. La porte donnant sur la rue était toujours verrouillée, le jardin du côté opposé n’avait pas de vis-à-vis et était clos par de grands murs, mes patrons n’utilisaient que des téléphones portables. J’étais en vase clos sans contact extérieur possible. Le soir je descendais dormir et la porte de mon coin lit était verrouillée. Le matin la patronne m’ouvrait, je faisais une toilette à l’évier de la buanderie du sous-sol. Puis je m’habillais. Je n’avais pas de sous-vêtements. Ensuite je montais travailler toute la journée sans pause. Je mangeais en faisant la cuisine. Régulièrement plusieurs fois par jour la vieille s’approchait de moi et me touchait. Les seins en passant sous le tee-shirt, les fesses en levant ma jupe, mon sexe en me caressant les lèvres et le clito. Je voyais à son regard que cela l’excitait. Des fois elle me mettait ses doigts, humides de mon sexe, dans la bouche en me disant dans ma langue « suce petite, tu vas aimer ». Je restai docile car je n’avais pas le choix. Son homme lui ne m’approchais pas.Le soir ils étaient au salon et moi je devais rester à la cuisine à portée de voix. De temps en temps elle criait « Mila vient » et je devais accourir pour satisfaire leurs désirs. Ce qu’elle aimait souvent c’était que je quitte mon tee-shirt en gardant la jupe et que je me mette assise sur la table cuisses écartées face à eux. Ils continuaient de parler. Puis la femme, dans un fauteuil, quittait sa culotte et me disait « viens sucer petite ». Je devais arriver à quatre pattes et lui bouffer longuement la chatte en la pénétrant bien avec ma langue. Elle faisait durer et ne laissait jamais paraître la moindre excitation. L’homme lui regardait sans rien dire ou faire. Des fois, en silence, il sortait son pénis flasque. Le patronne me disait « va le sucer et fait le bander ». Je lui suçais le gland avec mes lèvres assez vite mais il ne bandait jamais. Il se contentait de me dire « regarde-moi dans les yeux quand tu suces ».Au bout de quelques mois, un jour où ils étaient sortis, j’ai mis le feu à la maison et me réfugiant au fond du jardin. Les pompiers m’ont trouvée. La police m’a interrogée et confiée à une association de réinsertion. Le procureur a poursuivi les vieux qui ont été condamnés à de la prison ferme. J’espère ne jamais les croiser. Peut-être qu’en prison c’est eux qui doivent sucer d’autres sexes.

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