Mon beau-père et moi

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Mon beau-père et moiJ’avais seize ans quand Maman s’est remariée avec Frédéric. Elle le connaissait depuis un peu plus d’un an et il prenait soin d’elle mieux que Papa ne l’avait jamais fait avant de s’enfuir lâchement quatre ans plus tôt.Contrairement à plusieurs copines dans la même situation j’avais accueilli mon beau-père à bras ouverts. Il avait su me montrer de l’attention et de l’intérêt dès nos premiers contacts et nous nous étions immédiatement bien entendus; Il savait à quel point cela simplifiait ses relations avec ma mère alors il était aux petits soins avec moi: généreux, gentil, il prenait même ma défense quand ma mère m’engueulait. Il était le père que j’aurais voulu avoir, tout simplement.Cette impression était tellement forte que parfois j’en oubliais que la génétique ne nous liait pas. Il m’arrivait de m’asseoir sur ses genoux ou de me blottir contre lui et même s’il n’a jamais réagi de manière inappropriée j’en faisais sans doute un peu trop.J’étais heureuse, j’avais une famille stable et saine pour la première fois de ma vie; Quant à ma mère, elle avait retrouvé sa joie de vivre longtemps perdue. Le lycée a passé dans ce complet bonheur puis je suis entrée à la fac. Pour ma spécialité, les langues étrangères, je pouvais continuer à habiter à la maison et me rendre à l’université en moins de quarante minutes. J’avais moins d’indépendance qu’en habitant à la cité universitaire mais j’évitais à Frédéric de devoir me payer un loyer. C’était le moins que je pouvais faire pour lui qui m’avait déjà offert le permis et une voiture les mois précédents.Et puis pour être honnête, l’idée de me laisser chouchouter encore un peu ne me déplaisait pas. Il serait bien temps de devenir une vraie adulte dans trois ou quatre ans.J’ai fêté mes dix-huit ans en août et j’ai démarré les cours en Octobre. Trois semaines plus tard, Maman devait partir pour quinze jours en stage au siège de l’entreprise qui l’employait. C’était la dernière étape avant de devenir cadre, elle était ravie.Frédéric nous a invitées dans un très bon restaurant pour célébrer cela et féliciter sa femme d’un tel succès. Il l’avait toujours encouragée et soutenue; Cela ne lui serait pas venu à l’esprit de lui reprocher de l’abandonner deux semaines durant. C’était vraiment le mari idéal, j’étais contente pour Maman… et un peu aussi pour moi qui pouvait profiter de leur foyer sans nuage.Frédéric a emmené ma mère prendre son avion pour Copenhague le samedi et il est revenu de l’aéroport en ayant un peu la larme à l’œil. J’ai trouvé cela mignon mais déjà il était temps que je sorte rejoindre mes copines Clara et Anne pour aller faire les boutiques et prendre un apéritif dans un café branché.Par acquis de conscience j’ai lancé un “Ça va ? T’es sûr que tu ne veux pas que je reste avec toi ?Pap’ comme je l’appelais parfois m’a dit que j’étais adorable et il m’a tendu 200 euros avant de m’encourager à partir.- “Amuse-toi, puce. Je vais ranger un peu et regarder le foot”.J’ai acheté une robe, des collants et une ceinture en chambrant mes copines qui contrairement à moi n’avaient pas “le beau-père le plus top de l’univers”.Nous sommes restées au bar jusqu’à vingt-deux heures après que trois amis de Clara nous aient rejoints puis je me suis éclipsée lorsque l’un d’eux est devenu trop pressant. Je suis rentrée à la maison le cœur léger mais j’ai vite compris que quelque chose clochait. Un cadre était brisé dans l’entrée comme s’il avait été jeté par terre et le vase du salon était étendu sur le sol au milieu d’une flaque d’eau et des fleurs éparpillées.J’ai vu le PC du salon allumé et je suis allé voir la page qui était affiché: un compte mail de maman et un historique de messages avec un certain Patrick. Le contenu était sans équivoque et on comprenait dans le dernier email que les deux amants se félicitaient d’avoir deux semaines à Copenhague payées par leur entreprise pour profiter l’un de l’autre.Mon monde s’est écroulé: après mon père qui avait brisé ma première famille, c’était maintenant ma mère qui répétait ce scénario morbide. Ma première réaction fut de la trouver débile de s’être fait gaulée aussi bêtement: Frédéric n’avait peut-être même pas vraiment cherché pour tomber sur la messagerie compromettante. Quand on ne connait rien à l’informatique on n’envoie pas de messages coquins à son amant depuis le PC familial !J’ai remis mes pensées dans le bon ordre: le vrai sujet était qu’elle faisait n’importe quoi en trompant l’homme idéal, celui qui l’avait acceptée à la quarantaine, sans job et mère célibataire. Il nous avait offert sans rien demander en échange son amour, sa maison et son confort financier; Putain ! Je la détestais !J’ai retrouvé Frédéric ivre mort à côté d’une bouteille de whisky sans le salon. Je me suis souvenu de toutes les fois où il avait été là pour moi alors j’ai dénoué ses lacets et enlevé ses chaussures. Je l’ai calé au fonds des coussins malgré son poids bien supérieur au miens et je suis allée lui chercher une couverture.J’ai nettoyé tout le désordre dans la maison et je me suis couchée à mon tour sans parvenir à dormir. Je voulais comprendre ce qui avait pu se produire mais cela n’avait aucun sens. Tout allait bien à la maison et je savais que même sexuellement tout était au beau fixe entre eux: entre les bruits qui s’échappaient de leur chambre et le sourire niais de ma mère lorsqu’ils apparaissaient le dimanche matin à dix heures trente, elle n’allait pas me faire croire qu’elle ne s’amusait pas !J’ai regardé ma montre pour la dernière fois à quatre heures vingt-trois puis ce fut le matin un claquement de doigts plus tard. J’ai enfilé un short, des chaussettes et un t-shirt puis j’ai rejoint la cuisine avec inquiétude ne sachant pas dans quel état j’allais trouver mon beau-père et la maison.Il était habillé, rasé, coiffé et il était allé acheter du pain frais pour me faire des tartines: Il faisait face avec courage mais moi je ne voulais pas me prêter à cette mascarade.- “Ne fais pas semblant. J’ai vu la messagerie hier en rentrant… Putain, je ne sais pas comment elle peut te faire ça !”Il m’a coupée alors que j’étais prête à me lancer dans une des tirades enflammées dont j’ai le secret.- “Cécile. Ce n’est pas ton problème. Je suis désolé que tu aies vu ça mais c’est entre ta mère et moi.”…- “Et je vais aller faire un tour”.Je me suis retrouvée seule face à mon bol de café et mon cerveau s’est mis à remettre tout ce qui m’avait construite en cause. J’avais toujours vu mon (vrai) père comme l’unique responsable de l’échec du mariage de mes parents mais tout à coup la possibilité que les torts soient bien plus partagés me semblait une hypothèse incroyablement crédible.J’ai repensé à toutes ces années où j’avais refusé de le voir et où je l’avais appelé “mon géniteur”… Et si je m’étais trompée du tout au tout ? Et si j’avais brisé une seconde fois le cœur d’un pauvre Papa qui n’avait été que la victime de ma salope de mère ?Je ne savais plus où j’en étais. Rien n’était vrai, rien n’était plus bien ou mal, il n’y avait plus que du gris et de la laideur.Sur ses joyeuses pensées je suis allée réviser comme je pouvais puis je suis partie au cinéma et enfin je suis passée chez un couple d’amis. J’avais vécu cette journée comme un fantôme mais j’avais survécu jusqu’à dix-neuf heures et c’était déjà ça de pris.Une fois rentrée, Frédéric ne m’a pas adressé la parole. Son désespoir semblait s’être transformé en une rage froide, sa mâchoire était fermée et son regard était dur; Si je ne l’avais pas connu si adorable, j’aurais pu avoir peur de lui.Il m’a fait à manger et nous avons dîné, toujours sans parler. Je n’en pouvais plus alors j’ai dit ce qu’il me passait par la tête. – “Tu m’as dit que ce n’était pas mes affaires mais si je peux faire quelque chose pour toi je serai là”Il n’a pas répondu alors je me suis sentie obligée de continuer.- “Quand je pense que si ça se trouve elle est en train de se faire sauter en ce moment même”.Il m’a regardé l’air médusé pendant deux secondes comme s’il se repassait cette phrase dans sa tête pour être certain d’avoir bien compris.- “Putain Cécile. Tu crois que c’est drôle !?”Je lui avais coupé l’appétit. Il a pris le contenu de son assiette et l’a vidé directement dans la poubelle avant de partir dans son bureau en claquant la porte. Ma vie était en train de se désintégrer. C’était tellement la merde que j’avais presque envie d’en rire.J’ai débarrassé puis rangé la cuisine et je suis allée dans ma chambre regarder les épisodes d’une série que je suis depuis plusieurs années. Je me suis couchée avec autant de questions que la veille mais j’avais peu dormi la nuit précédente et je sentais que je tomberai dans les bras de Morphée plus facilement cette fois-ci.Je n’avais mis qu’un grand t-shirt pour ne pas avoir trop chaud; Depuis toute petite j’aimais bien avoir les fesses à l’air pour dormir. C’est lorsque j’allais fermer les yeux que j’ai entendu les pas s’approcher de mon lit; Sans doute déjà légèrement assoupie je n’avais même remarqué le son de la porte. J’ai levé les yeux, c’était Frédéric. Il m’a regardée et s’est assis sur mon lit.- “Ça va Fred ?”Il ne m’a pas répondu tout de suite se contentant de me dire d’une voix monocorde: “Mets-toi sur le ventre”.J’ai obéi sans chercher à comprendre puis j’ai senti qu’il tirait la couette. J’ai tourné la tête interloquée mais l’ordre suivant est tombé:- “Tu restes comme ça”Hébétée, je suis restée immobile quand je l’ai vu approcher sa main de mon postérieur. J’étais forcément en train de cauchemarder, ça ne pouvait pas réellement arriver.Il m’a touchée du côté droit et instinctivement j’ai contracté mes fesses. Cela l’a fâché et Il m’a lancé un regard désapprobateur, pourtant, je ne me suis pas dégonflée.- “Arrête Frédéric, c’est n’importe quoi. Tu es malheureux mais ça va s’arranger. Retourne te coucher et on fera comme si rien ne s’était passé”.J’étais aussi conciliante que possible, cela me semblait la meilleure façon de gérer le pétage de plomb de mon beau-père sans que cela ne fasse trop de dégâts.Pour seul réponse j’ai entendu sa voix froide et dure réduire mes illusions en miettes.- “Vous allez arrêter de m’emmerder dans cette famille ! Après tout ce que j’ai fait pour vous, ta mère me trompe comme la dernière des garces et toi tu n’es même pas capable de la fermer !”- “Mais je… j’ai rien fait, moi !”- “Ta gueule Cécile !”Il ne m’avait jamais parlé comme ça de sa vie; J’étais pétrifié. Sa main s’est posée sur moi et je n’ai pas été capable de protester. Il a caressé mon cul innocent d’abord doucement puis en empoignant chaque lobe pour les malaxer. J’étais rouge de honte.J’avais peur et j’avais les larmes aux yeux. J’aurais voulu aider mon beau-père qui n’était pour rien dans le tremblement de terre qui ébranlait notre famille mais évidemment ce n’était pas cette forme de soutien que j’avais en tête.J’étais perdue, désorientée et j’ai fini par me dire qu’après tout si poser une fois ses mains sur moi lui permettait de supporter ce que Maman lui faisait subir alors je pouvais sans doute faire cela pour sauver ma famille. J’avais laissé des garçons qui n’avaient jamais rien fait pour moi se glisser dans mon ventre alors pourquoi ne pas soulager un peu Frédéric qui s’était toujours démené pour que je sois heureuse ?J’ai fermé les yeux et plongé mon visage dans mon oreiller pour qu’il comprenne que je capitulais sans avoir à le lui dire vraiment. Je pensais à ma mère qui était en train de détruire nos vies. Tout était de sa faute; Frédéric et moi n’étions que ses victimes. Elle en crèverait sans doute d’apprendre que j’avais laissé son mari me tripoter mais elle le méritait. Sale garce !Il a enlevé ses mains de moi puis j’ai entendu un bruit bizarre. Je n’ai pas compris sur l’instant mais quand j’ai senti les doigts humides de mon beau-père se glisser entre mes fesses pour venir masser mon œillet j’ai compris qu’il les avait humectés. Mon sang s’est glacé, je n’avais jamais laissé personne me toucher de ce côté et je n’avais pas pensé un seul instant que Frédéric aille aussi loin. Je m’étais imaginée que toucher mon cul et peut-être mes seins le remettrait d’aplomb; cela me semblait déjà un sacrifice amplement suffisant.Mon beau-père en voulait bien plus, j’étais en enfer et je n’osais même pas imaginer ce qu’il avait prévu pour moi. Pire que cela, j’étais prise au piège: je l’avais laissé commencer et je savais pertinemment qu’il serait dès lors très difficile de me défiler.Il m’a caressé quelques secondes puis très vite il a poussé une phalange en moi. J’étais outrée et toute contractée mais je n’osais rien dire; Quant à Frédéric, il semblait n’avoir que faire de mes réactions tant que je me laissais faire.Malgré mon étroitesse, il a commencé à bouger en moi. C’était bizarre, un peu douloureux aussi mais surtout humiliant.D’abord il n’est pas n’est pas allé trop loin se contentant de mouvoir la pointe de son doigt puis il m’a libérée pour m’envahir de nouveau après avoir sans doute largement badigeonné son majeur de salive. Il n’a plus été tendre et il a plongé son doigt aussi loin qu’il pouvait en quelques vas et viens. J’ai répondu en poussant des grognements implorant pour tenter de le dissuader mais cela n’a servi à rien. Mes fesses me brûlaient et c’était la pire humiliation de ma vie.Quand il a sorti ses phalanges de mes entrailles, j’ai cru que j’en avais bakırköy escort fini mais évidemment je me trompais. Il y eu quelques secondes de silence complet comme si Frédéric hésitait puis Il m’a enjambée et j’ai senti sa verge glisser dans la raie de mes fesses.Il a craché dans sa main pour lubrifier la pointe de son sexe et il s’est présenté près à me pénétrer par la voie qu’il avait préparé à cet effet. Je me répétais “il ne va pas faire ça”, “”il ne va pas faire ça” mais je savais déjà que si je ne m’enfuyais pas, j’allais découvrir un pan nouveau de la sexualité. J’avais peur mais j’ai tenté une dernière fois de le dissuader.- “Arrête. On ne pourra plus jamais avoir les mêmes relations si tu me fais ça ; plus de complicité, plus rien”.- “Ta gueule Cécile”.Je sentais les larmes me monter aux yeux mais je m’étais fait une raison : j’étais prête à payer pour Maman.- “Doucement… je n’ai jamais…”- “Ferme là”.J’ai cramponné mes ongles dans le matelas et j’ai essayé d’expirer quand il a forcé pour enfoncer son gland dans mon pauvre petit cul. J’avais l’impression qu’il allait me déchirer mais j’ai été courageuse: Malgré la douleur j’ai tenu bon et je l’ai laissé me pénétrer comme je ne l’avais jamais été.Au début Frédéric resta immobile, compressé par mes muscles intimes puis il se mit à bouger lentement d’abord sans aller plus loin. Je grognais ma honte, ma douleur et ma stupeur mais je le laissais faire, acceptant mon sort.Quand il rua pour m’emplir encore plus j’hurlais franchement. Derrière mes yeux révulsés, je voyais le visage de Maman.- “C’est de ta faute ! C’est de ta faute, connasse, si je me fais enculer”Je lui en voulais à elle et rien qu’à elle, c’est à cause de ses conneries si je devais subir cela.Frédéric m’a d’abord baisée sans brutalité mais sans m’épargner; il reculait presque jusqu’à sortir de moi puis revenait loin à chaque poussée. J’avais toujours aussi mal mais le pire c’était cette humiliation d’être traitée ainsi.Je ne m’en rendais même plus compte mais je geignais à chaque vas et viens et ce fut pire quand mon beau-père accéléra le rythme. J’étais secouée, je nous sentais suer tous les deux et je ne pouvais retenir les grognements offusqués qui s’échappaient de ma gorge.J’ai essayé de me concentrer sur nos respirations pour oublier la partie basse de mon corps; J’ai écouté son souffle, senti ses pulsations qui tambourinaient dans sa poitrine contre mon dos.Je me suis calée sur ses expirations et j’ai tenté de détendre tous mes muscles. Je suis comme sortie de moi quelques secondes et quand apaisée j’ai repris le contrôle de mes membres, mes sensations avaient changées. Mes chairs commençaient à accepter la présence qui me parcourait et même si la douleur était là, je ne la ressentais plus comme une agression.Je suis restée ainsi allongée et offerte autant que je pouvais l’être. Je suis même parvenue à faire moins de bruit ne faisant plus que souffler en accompagnant les mouvements de Frédéric.J’ai senti qu’il plongeait la main dans mes cheveux puis qu’il écrasait mon visage dans l’oreiller, ses coups de reins se sont faits plus brutaux et il m’a empalée vraiment à fonds cette fois; c’était encore pire qu’avant mais je comprenais que c’était sans doute bientôt fini. J’entrevoyais la lumière malgré les cris de panique que cette pénétration bien plus profonde m’arrachaient.Il a joui au fonds de moi avant d’être parcouru comme d’un tremblement et de libérer une dernière salve en quittant enfin mon fondement.J’ai entendu la porte claquer dans la foulée, il était parti sans un mot en me laissant dans un état pitoyable, le corps repus de courbature et ahurie d’avoir vécue une telle expérience.Je suis restée sans pouvoir bouger près de dix minutes puis je me suis décidée à me reprendre en main. J’ai tenté de me débarrasser du sperme qui s’échappait de moi avec les lingettes démaquillantes qui étaient sur ma table de nuit puis je suis allée à la salle de bain. J’ai prié très fort pour ne pas croiser Frédéric en chemin et je me suis dépêchée de me doucher.Quand je suis retournée dans ma chambre après m’être appliquée de la crème apaisante, l’odeur de sexe qui emplissait toujours la pièce m’a fait rougir mais j’ai baissé les yeux et je me suis tout de même couchée.Mon cœur battait la chamade, pourtant j’avais retrouvé mes esprits: j’étais encore un peu perturbée mais je ne pleurais pas et je n’étais pas traumatisée, par contre j’étais morte de fatigue alors j’ai laissé le sommeil m’emporter.J’avais mis mon réveil à six heures vingt afin d’arriver à la fac en avance pour mon premier cours. La première minute je n’ai pas pensé à ma vie en miettes mais tout m’est revenu ensuite. J’avais honte de ce que j’avais laissé mon beau-père me faire mais mon tempérament parvenait tout de même à reprendre le dessus: S’habiller, aller en cours, travailler; Il fallait recommencer à mettre un pied devant l’autre.J’ai fait une toilette rapide, remis de la crème apaisante là ou vous pouvez l’imaginer et je me suis habillée. Quand j’ai vu Frédéric dans la cuisine je me suis figée, j’avais espéré qu’il soit encore au lit. Lui m’a fait la bise comme si tout était normal et il m’a servi mon café. – “Bien dormi ? Tu as quoi comme cours aujourd’hui” ?- “Heu… oui j’ai… dormi. Et j’ai initiation au Russe ce matin”.Il a croqué dans une tartine en se comportant exactement comme il l’aurait fait d’habitude.- “Je passe aux courses en rentrant ce soir. Il te faut quelque chose ?”- “Heu… non je ne sais pas. Des céréales s’il n’y en a plus”.Il semblait vouloir tirer un trait sur ce qui s’était passé la veille, je me disais qu’il devait regretter et souhaiter que nous reprenions nos vies: J’étais d’accord. Notre famille allait avoir suffisamment à gérer avec l’infidélité de ma mère sans en rajouter. J’ai tout de même pris mon courage à deux mains:- “On dit qu’il ne s’est rien passé et on n’en reparle plus jamais ? D’accord ?”- “Ça me va… Tu es sûre que tu n’as pas besoin de shampoing ou de gel douche ?”- “… du démêlant si tu en trouves; Tu sais: celui avec la boite verte”.Il prenait cela tellement à la légère, c’en était surréaliste. Au moins, nous étions d’accord pour enfermer cette horreur dans une boite au tréfonds de nos mémoires: C’était mieux comme cela.J’ai passé ma journée de cours à peu près normalement même si je n’ai pu m’empêcher de repenser aux dernières quarante-huit heures: ma mère, ma famille… et la nuit précédente. Je me revoyais brailler en me faisant “prendre par derrière”. Putain, il ne m’avait pas ratée !Je devais être complètement folle mais à cette pensée j’ai rigolé au milieu de l’amphithéâtre comme une idiote. Cela devait être nerveux mais il valait mieux que ça plutôt que de faire une dépression.Le soir à la maison tout s’est passé à peu près normalement. Maman a appelé, j’ai dit que tout allait bien et j’ai menti en prétendant que Frédéric était sous la douche. Il m’a fait à manger, nous avons regardé ensemble un programme que nous avions l’habitude de suivre en famille puis il m’a embrassé sur le front en me disant qu’il allait dans son bureau. C’était la tendresse habituelle sans insinuation et sans équivoques; cela semblait dingue mais nous avions passé outre nos ébats en moins de vingt-quatre heures.Je suis allé papoter avec mes copines sur Facebook avant de me coucher comme je l’aurais fait une semaine plutôt, c’était vraiment comme si la soirée précédente n’avait jamais eu lieu.La journée suivante se déroula à peu près à l’identique jusqu’à vingt- heures trente. Je sortais alors de la salle de bain après avoir pris une longue douche chaude simplement vêtue d’un de mes habituels t-shirts xxl qui m’arrivaient à mi-cuisse. J’ai ouvert la porte de ma chambre, Frédéric était là, assis sur mon lit.J’ai eu un instant de frayeur; Evidemment je repensais à la soirée où il m’avait baisée mais j’essayais de me raisonner: c’était derrière nous et cela ne se reproduirait plus.J’ai souri comme je pouvais et j’ai avancé vers mon lit; Mon beau-père s’est levé puis il approché de moi pour saisir mon bras et me balancer à plat ventre sur mon bureau. Je me suis retrouvé le torse sur le plateau en appui sur la pointe des pieds tant il avait failli me faire passer de l’autre côté. J’ai senti son bras appuyer sur le bas de mon dos pour m’immobiliser et de son autre main il a relevé le tissu qui couvrait encore mes fesses. Je l’ai entendu saliver sur ses doigts et j’ai perçu le contact humide dans ma raie: Il allait recommencer, me prendre comme il l’avait fait deux jours plus tôt. -“Arrête… Ne me fais pas ça… Ça ne t’a pas suffi la dernière fois ?”.- “Ta gueule !”Il a pris un cadre avec une photo de ma mère et il l’a posé fermement à quelques centimètres de mon visage.- “Elle a téléphoné il y a une demi-heure en disant de ne pas la rappeler parce qu’elle voulait se coucher tôt aujourd’hui. Tu crois qu’elle est en train de faire quoi ?”Je n’ai pas osé répondre, il avait sûrement raison: Maman le trompait sans doute à ce moment précis. Il a articulé froidement:- “Elle est en train de baiser… alors moi aussi”.Je ne savais pas quoi dire, c’était sans doute déraisonnable mais je le comprenais. J’ai oscillé entre protestation et capitulation un instant puis j’ai choisi mon destin: j’ai arrêté de me débattre, j’ai posé mon visage contre le bureau et j’ai soufflé: “D’accord”.J’ai fermé les yeux et j’ai senti ses doigts enduits de salive venir au contact de mon œillet. Il m’a caressé plutôt doucement en prenant suffisamment de temps pour que mon corps soit prêt lorsqu’il a enfoncé ses doigts en moi. Je ne sentais pas de rage en lui contrairement à la première fois: Il agissait froidement et savais exactement ce qu’il faisait. Il n’avait pas bu, il ne pétait pas les plombs et d’une certaine manière c’était encore plus déroutant.Il m’a massé longtemps et il a glissé ses doigts en moi pour m’ouvrir à ce qui s’annonçait puis quand il s’est enfoncé entre mes fesses, il a été assez doux: il ne voulait sans doute pas me faire mal, j’étais un simple dommage collatéral: Il enculait la fille de l’ingrate qui le trompait, c’était la seule réponse qu’il avait trouvé. J’arrivais mieux à gérer mon corps lors de cette seconde expérience, je parvenais à me détendre et à décontracter au mieux mes muscles intimes. Bien sûr je ressentais toujours un inconfort important et mes cris trahissaient des moments franchement douloureux quand il me prenait plus profondément ou lorsqu’il cramponnait mes hanches pour me besogner plus brutalement mais ce n’était plus une punition comme cela l’avait été deux jours plus tôt. La pièce ne résonnait plus que du frottement de nos corps, de sa respiration et de mes réactions tantôt soupirs larmoyants, tantôt grognements ou cris aigus. Je n’aimais pas ça, c’était bestial, irrespectueux, quasi-i****tueux et je n’étais que l’outil d’un règlement de compte qui me dépassait mais c’était une expérience plus intense que tout ce que j’avais vécu dans ma vie de femme; Je ne pouvais nier une certaine fascination pour ma propre capacité à m’en accommoder. Je luttais toujours pour ne pas me contracter quand j’ai senti la pression des mains de Frédéric se faire plus forte sur mes hanches. Il a continué à coulisser au même rythme puissant jusqu’au moment où ses gestes sont devenus moins maîtrisés, il a poussé de toutes ses forces en grognant et en semblant hésiter entre se planter au fonds de moi ou donner un ultime coup de rein pour sentir la caresse de mes chairs sur sa verge. J’ai poussé un cri rauque en me sentant prise au maximum et il a cessé de retenir son plaisir; J’ai senti les salves de sperme s’échapper en moi puis rapidement après quitté mes entrailles, mon partenaire m’a abandonnée pour me laisser seule dans ma chambre.Comme la première fois, je fus surprise de mon calme après une telle expérience et une douche chaude se révéla suffisante pour me remettre en état et m’assoupir très vite.J’avais compris le manège qui se mettait en place et le lendemain matin je ne fus pas surprise de retrouver chez mon beau-père un comportement identique à l’habitude. J’ai joué le jeu en faisant la conversation comme si la rencontre de la nuit précédente était une parenthèse vécue dans un monde parallèle. Pourtant, Je n’ai pas pu me concentrer de la journée à la fac: La première fois avec Frédéric avait pu être un accident mais il y avait eu une seconde fois. Il ne m’avait pas forcée ni menacée, il m’avait simplement dit de me taire et je m’étais laissée faire à deux reprises: il fallait regarder les choses en face, j’étais totalement consentante.J’avais très bien compris ce qui allait se passer si je continuais sur la voie que j’avais commencé à emprunter: Mon beau-père allait me baiser chaque soir ou quasiment de la pire des façons jusqu’au retour de maman pour supporter de la savoir toutes les nuits dans les bras de son amant.La solution logique aurait été de me réfugier ailleurs, de ne plus remettre les pieds à la maison mais depuis le début je me sentais du côté de Frédéric malgré ce qu’il me faisait subir. Je n’ai pas hésité longtemps et j’ai décidé de continuer à être son jouet quoi qu’il arrive. Ma mère l’avait bien mérité: A cause de ses tromperies qui allaient sans doute nous coûter la famille que nous avions reconstruit, j’allais me faire sodomiser tous les jours; Quand elle reviendrait de ses beşiktaş escort vacances de dépravée, elle devrait assumer cela.J’étais lucide sur ce qui allait m’arriver mais ce n’était pas une raison pour ne pas essayer d’améliorer un peu ma situation. Je suis allé à la pharmacie acheter du lubrifiant spécialement conçu pour le sexe anal et j’ai essayé de faire comprendre à la vendeuse que je voulais aussi une crème pour me soulager après; Le baume apaisant que j’avais utilisé les jours précédents n’était pas vraiment fait pour cette utilisation, il me fallait quelque chose qui soit adapté aux épreuves qui m’attendaient. La pharmacienne rougissait tellement que je ne ressentais plus vraiment ma propre honte; J’ai quitté l’établissement en rigolant encore de son visage défait et de ses mains tremblantes quand elle emballait mes achats.Le soir venu, comme toujours, mon beau-père a préparé le dîner, très bien d’ailleurs et il s’est intéressé à mes cours. Il aimait l’Italie et le Portugal et c’était toujours avec plaisir que nous discutions de mes leçons qui couvraient l’histoire de ces pays. J’étais étonnée que nous parvenions à être aussi à l’aise compte tenu du chaos qui allait s’emparer de notre foyer dans quelques jours et du virage drastique que notre relation était en train de prendre… Mais après tout, c’était mieux comme cela.A vingt-deux heures, j’ai dit que j’allais me coucher en me doutant que j’aurais une visite de Frédéric quelques minutes plus tard. Dans mon lit, j’ai débouché le tube de gel et doucement j’ai déposé une noix entre mes fesses. Je n’étais pas experte pour me caresser en général et totalement novice de ce côté-là: je me suis contentée de répéter les gestes que mon beau-père avait effectués les jours précédents. J’ai massé mes muscles depuis l’extérieur et quand j’ai senti ma rosette assouplie, j’ai doucement glissé une phalange couverte de lubrifiant en moi.J’ai fait cela consciencieusement et avec douceur si bien que je n’ai ressentie aucune gêne. Petit à petit j’ai enfoncé mon doigt plus loin, je sentais mon fondement souple et tapissé de gel, je savais déjà que la douleur à la pénétration serait bien moindre cette fois-ci.Quand j’ai vu la lumière du couloir sous la porte de ma chambre, mon cœur s’est mis à battre plus vite. J’ai mis le tube dans la table de nuit et j’ai essuyé mes doigts avec une lingette puis je me suis retournée sur le ventre pour que Frédéric me trouve dans cette position en entrant. Une minute a passé, puis deux, puis cinq et la lumière s’est éteinte. J’ai compris qu’il ne me rejoindrait pas ce soir-là et cela m’a laissée aussi déçue que frustrée. Je devenais folle: il n’y avait pas d’autre explication.Je me suis essuyée en ayant la même amertume que si on m’avait posé un lapin et j’eu un peu de mal à trouver le sommeil.Je recommençais les mêmes préparatifs le lendemain soir certaine, cette fois, que ce ne serait pas inutile. J’avais mis de jolis dessous, un ensemble rose en dentelle composé d’un shorty et d’un soutien-gorge avec des bretelles assez large. Quand la porte a grincé, signe que Frédéric allait se servir de moi pour conjurer sa rancœur, j’avais encore du lubrifiant plein les doigts. Je les ai essuyés discrètement sur le drap et je me suis allongée sur le ventre un coussin sous le bassin.Conformément à son rituel mon beau-père n’a pas dit un mot, il s’est assis à côté de moi et quand il a soulevé la couette j’ai attendu quelques secondes puis j’ai attrapé le haut de ma culotte et je me suis tortillée pour la descendre jusqu’au haut de mes cuisses. Je connaissais maintenant les gestes qu’il allait reproduire: Ses doigts humides se sont posés sur moi entre mes fesses, il a compris immédiatement que j’étais déjà prête mais il a tout de même pris le temps de me caresser doucement. Quand ce fut le moment de glisser ses doigts en moi, il ne profita pas de mon corps déjà assoupli pour me brutaliser; Au contraire, son index me pénétra d’abord à peine et il ne progressa que très lentement. Pour la première fois, il joignit deux doigts pour les enfoncer en moi quand il me senti me prête; Je poussais un premier grognement lorsqu’ils entrèrent en moi puis un deuxième lorsque ses phalanges m’écartèrent un peu plus. Il cessa alors de bouger, j’avais compris ce qu’il voulait: Je me mis à appliquer un léger mouvement de balancier d’avant en arrière pour moi-même coulisser sur son majeur et son index maintenus immobiles.Le lubrifiant et la petite expérience que je commençais avoir aidant, je n’avais quasiment pas mal. Je me suis empalée progressivement petit à petit en gémissant à chaque mouvement. Depuis le début de notre étrange aventure, pour la première fois je ressentais une forme excitation.J’ai continué longtemps, mon beau-père semblant ne pas se lasser de me voir m’activer ainsi. Il finit néanmoins par écarter ses doigts de moi et venir positionner ses genoux de chaque côté de mes hanches. Je tendais mes fesses en essayant au maximum de m’ouvrir et me détendre. J’avais définitivement choisi d’y mettre du miens autant que je pouvais, c’était finalement la meilleure solution pour que ce ne soit ni désagréable ni douloureux.Frédéric cracha pour lubrifié son gland et mes chairs puis il s’introduisit en moi plus tendrement qu’il ne l’avait jamais fait. Je plaçais mes mains à plat à côté de mon visage et je respirais au rythme du ballet de sa verge dans mon fondement. La douleur existait toujours tout comme le sentiment de honte mais la façon dont mon beau-père me prenait avait changé. Sa progression en moi se faisait langoureuse, son souffle trahissait son plaisir et mes gémissements étaient de plus en plus suspects. Nous le savions tous les deux: même si Frédéric était de nouveau entré sans dire un mot, qu’il ne m’adressait toujours pas la parole et qu’il me sodomisait, nous étions bel et bien en train de faire l’amour. C’était la première fois et cela changeait beaucoup de choses.Quand il a joui en moi un peu plus tard, je souriais en sentant les contractions de sa verge entre mes fesses. Bien sûr, je n’avais pas vraiment eu d’orgasme mais cela ne m’avait pas empêché de ressentir du plaisir pour la première fois depuis que Frédéric se permettait de me toucher.A partir de ce soir-là, Frédéric revint tous les jours. Notre routine était bien huilée: comportements habituels le reste du temps, préparatifs intimes seule dans ma chambre, ma porte qui s’ouvrait entre vingt-deux et vingt-trois heures puis mon beau-père me rejoignait sans m’adresser la parole pour un rapport exclusivement anal. Je me douchais ensuite puis j’utilisais mes crèmes réparatrices avant d’aller me coucher sans la moindre culpabilité. Pourquoi mentir ? Chaque jour j’aimais un peu plus ce que nous faisions. Quel que soit la position qu’il me faisait adopter: sur le ventre, cassée en deux sur le bureau ou en levrette, la honte était partie; Ne restait plus que la satisfaction de briser l’interdit et de faire payer ma mère pour le mal qu’elle nous faisait.J’aurais voulu connaître les pensées de Frédéric, savoir comment il ressentait le fait de me sentir vibrer et gémir d’aise son sexe plongé dans mes entrailles… mais nous avions nos règles: nous n’en parlions pas, nous ne nous câlinions pas après le sexe et nous feignions de continuer à croire que nous n’étions pas amants.Et puis le samedi soir est arrivé, ma mère revenait le lendemain, ce serait notre dernière étreinte. Je préférais ne pas compter le nombre de fois où je m’étais laissé sodomiser durant ses deux semaines; Il était temps que nous revenions à un mode de vie normal, nous ne pouvions pas continuer comme cela: Ne serait-ce que physiquement j’aurais fini par avoir des problèmes, j’avais même sans doute de la chance que ce ne soit pas déjà le cas.Il était vingt-et-une heure trente quand j’ai rejoint ma chambre après m’être douchée et remaquillée. J’ai installé les bougies que j’avais achetées, changé l’ampoule de ma lampe de chevet pour un modèle assombri qui diffusait une lumière tamisée et je me suis regardée dans la glace; J’ai enlevé mon peignoir puis j’ai enfilé les grandes chaussettes roses et noires trouvées dans une boutique de lingerie l’après-midi même. Elles montaient quinze centimètres au-dessus du genou presque comme des bas et je les portais pour seuls vêtements. J’ai tiré mes cheveux en arrière pour former une queue de cheval et je les ai attachés ainsi. Je me trouvais jolie et sexy pour cette dernière fois qui me rendait déjà un peu nostalgique.Je voulais boucler la boucle alors je ne me suis pas préparée préférant retrouver les sensations de la première fois où Frédéric s’était introduit dans ma chambre. De toute façon je n’avais pas vraiment le choix, j’avais fini le tube de lubrifiant la veille et je n’en avais pas racheté. Quand il est entré, j’étais debout, les yeux baissés et les mains jointes devant mon ventre. J’étais la victime consentante de l’homme que j’attendais avec impatience depuis plus de vingt minutes. Son regard a fait le tour de la pièce et il n’a pu s’empêcher de sourire en voyant tout ce que j’avais préparé; Je voulais le croire flatté et un peu touché par mes attentions.Je mourrais d’envie de lui proposer que cette soirée soit différente, que nous fassions plus, que nous nous embrassions et qu’il dorme avec moi… mais il aurait sans doute refusé alors j’ai simplement souri puis en faisant tout mon possible pour me mouvoir avec élégance, je suis allé m’allonger sur le lit.Je me suis mise sur le ventre, j’ai remonté mon genou droit sur le côté et j’ai tourné mon visage pour que Frédéric puisse me voir sourire. Il a caressé mon fessier avec douceur puis son index a glissé entre mes fesses, il a dû comprendre que je n’avais pas utilisé de gel contrairement aux jours précédents puisqu’il a approché son visage de mon postérieur. Il a mordillé chacun de mes lobes puis lorsqu’il a glissé sa langue dans mon sillon je n’ai pu empêcher de tendre mon postérieur pour m’offrir encore plus. Il a fait s’assouplir mes muscles en me léchant avec application puis il a poussé la pointe de sa langue en moi d’abord timidement mais ensuite il alla jusqu’à me donner l’impression de me faire l’amour ainsi. Je me mordais les lèvres en soupirant et je ruisselais honteusement: le temps où j’aurais pu prétendre que tout cela se déroulait un peu contre mon gré était bien loin.J’ai profité de cette sublime caresse aussi longtemps qu’il me l’offrait même si je mourrais d’envie que pour la dernière fois je le sente me pénétrer. Il a quitté mon fondement en faisant remonter sa langue dans la raie de mes fesses puis tout le long de ma colonne vertébrale. Je frissonnais d’excitation, j’étais à point.J’ai senti le baiser qu’il faisait sur mon épaule, ce n’était pas sur mes lèvres mais c’était un vrai baiser et je ressentais toute la tendresse qu’il s’efforçait de ne pas me montrer. Pour lui répondre, je me suis voûtée comme une chatte que l’on caresse et j’ai soufflé “merci”.Frédéric m’a fait me déplacer sur la couette, je me suis retrouvée sur le dos, les fesses au bord du lit et les cuisses ramenées de part et d’autres de mon buste. J’étais un peu comme une grenouille que l’on aurait retournée mais j’essayais de rester élégante tout de même en tendant mes chevilles et en me cambrant.La position offrait parfaitement mes fesses ou mon vagin et mon beau-père installé à genoux devant moi était à la hauteur idéale pour profiter de mon corps. C’était tellement adapté à ce qu’il aimait me faire que j’en étais surprise qu’il n’ait pas utilisé cette position les jours précédents. Il a présenté son gland couvert de bave contre ma petite porte et il a fait pression doucement en imprimant de discrets mouvements circulaires. Je m’ouvrais autant que je pouvais sans le quitter des yeux et c’est mon regard plongé dans le sien que j’ai miaulé pour accompagner la verge qui écartait mes chairs.Frédéric m’a baisée ainsi lentement mais en progressant irrémédiablement jusqu’à être aussi loin en moi qu’il le pouvait. Je soufflais, je gémissais, je m’abandonnais totalement à cette façon de faire l’amour que j’avais appris à aimer.Je me faisais enculer et cela me plaisait, je n’en étais pas fière mais c’était ainsi. Une petite sensation de douleur restait présente comme pour me rappeler que c’était mal mais j’aimais briser tous ces interdits à la fois: accepter cette pratique “contre-nature”, l’identité de mon partenaire et le fait de me laisser aller à y prendre goût.Mes cris ne laissaient plus aucun doute: je n’aurais pas voulu être ailleurs et comme les jours précédents j’avais rêvé de ce moment toute la journée. Quand mon beau-père s’est enfoncé de nouveau au plus profond et qu’il n’a plus reculé que de quelques centimètres avant de revenir lentement dans mes entrailles, je ne me suis plus cachée: j’ai soufflé “Oui comme ça” et j’ai rouvert les yeux pour qu’il voit dans mon regard que je ne trichais pas.Il a profité de moi ainsi plusieurs minutes et c’était vraiment bon. Il m’a ensuite installée sur le lit à quatre pattes et j’ai lâché un soupir plein d’envie qui même moi m’a surpris quand Frédéric est revenu entre mes fesses. Je l’ai laissée faire quelques vas et viens puis j’ai répété la phrase que j’avais préparé tout l’après-midi:- “Tiens moi par les cheveux; je les attachés pour toi”.Pour une fois, mon beau-père ne m’a pas dit “de la fermer” beylikdüzü escort comme à chaque fois que je lui avais adressé la parole lors de ces moments particulier. Je me suis cambrée pour en rajouter et j’ai gémi quand Frédéric a saisi ma queue de cheval à la racine.Il m’a tenu comme cela en faisant des vas et viens complets et je l’ai senti bander encore plus fort. Il soufflait du plaisir et de l’excitation de me sodomiser ainsi, cela m’encourageait à m’ouvrir encore plus. C’était si bon que pour la première fois je me sentais capable d’en jouir vraiment. J’ai glissé une main entre mes cuisses et j’ai trouvé mon clitoris malgré mon corps secoué de toute part.Mon bouton n’avait jamais été aussi sensible, sans doute parce que le plaisir montait déjà confusément en moi. Je me suis stimulée maladroitement tant l’équilibre était instable en appui sur un seul bras. L’effet était pourtant là et mes cris sont devenus de vraies démonstrations de plaisir.Semblant deviner mes désirs, Frédéric a cramponné ma queue de cheval encore plus fermement et il s’est mis à me pénétrer vraiment durement. Nos peaux claquaient à chaque contact et mon pauvre petit cul s’offusquait d’être agressé ainsi.Je retrouvais les sensations de notre première fois et c’était ce que je voulais. J’avais mal de nouveau mais les doigts crispés sur mon clitoris j’étais au bord du plaisir. J’ai fait monter mon extase encore une minute puis j’ai reposé les deux mains devant moi et fermé les yeux. Tout mon ventre s’est mis à être traversé de spasmes et quelques secondes plus tard l’orgasme m’a foudroyée mélangeant le plaisir que je m’étais moi-même donné à mon envie de jouir en sentant mon beau-père cogner entre mes fesses. Frédéric n’a pas résisté en me voyant réagir ainsi et il a éjaculé au fonds de moi sans cesser de tirer mes cheveux. Nous sommes restés tous deux immobiles et à bout de souffle avant que mon amant ne se retire lentement de moi.Comme il l’avait toujours fait, il s’apprêtait à quitter la pièce sans me dire un mot. Je l’avais toujours accepté mais pour ce dernier soir j’espérais autre chose.- “Frédéric, attends !”Il s’est retourné nu comme un ver et surpris que je brise nos habitudes, je n’ai pas attendu son autorisation pour me blottir contre lui; Après tout, je l’avais amplement mérité. Après une brève hésitation, il a serré ses bras autour de moi et j’ai caché mon visage dans son cou. J’avais attendu longtemps ce simple câlin alors j’en profitais.Quand mon besoin de tendresse fut satisfait, j’en profitais pour lui dire ce que j’avais en tête. – “Tu ne m’as pas forcée et tu ne m’as pas traumatisée”…- “Je ne sais pas ce que tu vas faire avec maman. Est-ce que tu lui vas lui mettre dans la gueule que tu m’as baisée tous les soirs pendant qu’elle te trompait et la quitter ou est-ce que c’est une façon de mettre les compteurs à zéro pour vous laisser une chance ? Tu feras ce que voudras”…- “Dans tous les cas, je ne regretterai rien”Puis j’ai soufflé encore plus doucement à son oreille:- “Ça m’a plu chaque jour un peu plus… Je n’aurai pas cru”.Il m’a embrassé sur la joue puis il m’a lâché pour s’échapper; Définitivement cette fois.—————————————————————————ÉpilogueLe lendemain matin je n’ai pas entendu Frédéric partir et lorsque je me suis levée j’étais seule dans la maison. J’étais triste: ma famille allait sans doute exploser dans les prochaines heures et mes deux semaines de folie sexuelle avec mon beau-père étaient finies.J’imaginais que Maman et lui devaient être en train de commencer à régler leurs comptes sur le trajet retour depuis l’aéroport; J’en étais à souhaiter qu’avant tout ils n’aient pas d’accident de voiture.J’étais mal quand j’ai entendu la porte du garage: Dans le pire des cas ma mère était déjà au courant de mes activités nocturnes en son absence et il allait falloir lui faire face dans quelques secondes.La porte s’est ouverte et Maman a couru vers moi pour me serrer dans ses bras. Apparemment Frédéric n’avait pas encore ouvert les hostilités. Elle a monté un de ses sacs à l’étage et il en a profité pour me dire quelques mots:- “Je ne lui ai pas encore parlé, je vais le faire maintenant”…- “Je ne lui dirai pas pour nous deux. Tu pourras le faire si tu le souhaites… je n’ai rien à t’interdire après ce que je t’ai fait”Je lui ai souri et j’ai répondu encore plus doucement:- “On l’a fait tous les deux; Je suis une adulte moi aussi… Et je ne lui dirais rien si toi tu n’en parles pas”.Il est monté à l’étage et avant d’entrer dans la chambre il m’a regardée; Il semblait triste, c’était touchant. Je n’ai rien entendu les deux premières minutes puis des éclats de voix me sont parvenus. Ma mère pleurait, elle criait ses regrets mais cela n’avait pas l’air de suffire. Elle a supplié beaucoup, promis encore plus mais finalement Frédéric est parti, un sac de voyage sur le dos.Quand il est passé à côté de moi, il m’a serré contre lui pour poser un baiser mes cheveux. Le bruit de la porte qui claquait m’a fait sursauter et quand j’ai repris mes esprits Maman était à côté de moi, en larmes. Elle a voulu me prendre dans ses bras mais je l’ai repoussé.- “Putain Maman tu fais chier ! Il a toujours été génial avec nous”Elle était pétrifiée- “Tu… tu sais aussi ?”Je l’ai regardée avec un air moqueur. – “La prochaine fois que tu as le feu au cul, apprends au moins à sécuriser ta messagerie”.- “Mais comment tu me parles? Je suis ta mère”J’ai levé les yeux au ciel et je l’ai plantée au milieu du salon pour aller me réfugier dans ma chambre.Ma mère a erré comme une âme en peine pendant quinze jours puis finalement Frédéric est revenu. Ils ont fait chambre à part plusieurs mois mais un jour tout a semblé redevenir normal entre eux. Avec moi, mon beau-père était aussi prévenant qu’il l’avait toujours été et nous nous comportions comme si rien n’avait jamais eu lieu entre nous.Je n’étais pas amoureuse de lui ni jalouse de ma mère mais souvent je repensais à ce qu’il m’avait fait vivre: J’avais dépassé toutes mes limites et j’avais fini par adorer cela. A côté de ces moments, le retour à la vie normale était bien terne. Je ne fréquentais pas de garçons de mon âge non plus, il n’y avait aucune chance que l’un d’entre eux puisse me donner ce dont j’avais besoin.J’en étais là quand arriva un mercredi soir où Maman était invitée à une soirée entre filles chez ma tante. Le matin, elle nous l’a rappelé au petit déjeuner en précisant qu’elle irait directement depuis le travail et rentrerait vers minuit. Frédéric a souri plus qu’il ne le fallait puis il a plongé son regard dans le mien. Il n’avait pas besoin de parler, mes yeux se sont illuminés et j’ai hoché la tête discrètement pour répondre un grand “oui” à la proposition qu’il n’avait pas eu besoin de formuler.Il s’est tourné vers ma mère. – “Ne t’inquiètes pas chérie. On arrivera bien à s’occuper”La suite… Ai-je vraiment besoin de la raconter ?Attention ceci est un bonus caché (mal caché, certes) !En relisant les chapitres précédents une fois leur écriture achevée, j’ai eu l’idée d’une autre fin pour cette histoire. Le véritable épilogue reste celui présenté précédemment… mais pour les curieux ou ceux qui ont apprécié ce récit… voici comment tout cela aurait pu finir.——————————————————–Épilogue alternatif Le lendemain matin je n’ai pas entendu Frédéric partir et lorsque je me suis levée j’étais seule dans la maison. J’étais triste: ma famille allait sans doute exploser dans les prochaines heures et mes deux semaines de folie sexuelle avec mon beau-père étaient finies.J’imaginais que Maman et lui devaient être en train de commencer à régler leurs comptes sur le trajet retour depuis l’aéroport; J’en étais à souhaiter qu’avant tout ils n’aient pas d’accident de voiture.J’étais mal quand j’ai entendu la porte du garage: Dans le pire des cas ma mère était déjà au courant de mes activités nocturnes en son absence et il allait falloir lui faire face dans quelques secondes.La porte s’est ouverte et Maman a couru vers moi pour me serrer dans ses bras. Apparemment Frédéric n’avait pas encore ouvert les hostilités. Elle a monté un de ses sacs à l’étage et il en a profité pour aller ouvrir une bière. J’imaginais qu’il avait manqué de courage ou alors qu’il avait préféré attendre une confrontation en face à face pour éviter d’avoir à se concentrer sur la route en même temps.Maman est redescendue et alors qu’elle était au milieu de l’escalier mon sang s’est glacé; Il y avait une troisième possibilité: mon beau-père souhaitait peut-être que je prenne part à leur règlement de compte. Dans ce cas, ce serait pour balancer au visage de Maman qu’il s’était vengé de son infidélité avec moi et que tout était de sa faute. Depuis le début je me disais qu’elle méritait de se prendre cette réalité de plein fouet… mais l’imminence de cet instant qui allait à jamais faire basculer nos vies me faisait défaillir.Et puis rien…Ma mère s’est assise dans le canapé, Sacha lui a servi un café et elle nous raconté ses journées de formation et ce qu’elle avait pu visiter de Copenhague. Je ne comprenais plus rien et ce fut pire quand je vis plusieurs gestes tendres échangés entre Maman et son mari.J’étais un peu déçu de lui. Il s’était montré fort et implacable avec moi: Comment pouvait-il retrouver sa femme adultère et faire comme s’il ne savait rien de ses écarts ? Ou alors…. Était-t-il possible qu’il ait pris goût au mode de vie que nous avions découvert ensemble depuis deux semaines: Sa femme qui le trompe en se croyant discrète et lui qui trouve chaleur et réconfort et dans mes bras ?Dans ce cas, ses visites nocturnes continueraient peut-être: Mes seins pointaient déjà honteusement à la simple évocation de cette possibilité. La soirée passa puis les deux jours suivants également. La maison avait retrouvé son calme et sa bonne humeur mais je ne pouvais pas m’en satisfaire alors le soir, à table j’ai mis les pieds dans le plat et j’ai parlé de l’amant de Maman pour voir comment elle réagissait:- “Maman, il y avait ton collègue Patrick à ta formation ?”- “Patrick ? Il est parti en pré-retraite il y a deux mois. Et puis il était déjà cadre de toute façon; Il n’aurait pas pu être avec nous. Mais pourquoi tu me demandes ça ?”- “Heu… Pour rien: j’avais cru que tu avais parlé de lui avant de partir”.Soit c’était une sacrée menteuse soit j’étais complètement à côté de la plaque !J’en étais là dans mes réflexions quand Maman est allée en cuisine préparer le plat principal. Mon beau-père était en face de moi et il a choisi ce moment pour plonger son regard dans le mien avec un sourire en coin que je ne parvenais pas à déchiffrer.Les rouages dans mon cerveau se sont lentement mis en marche et je suis devenue rouge écarlate quand enfin j’ai compris: Quelle preuve avais-je eu des tromperies de ma mère ? Finalement pas grand-chose: quelques messages visibles sur le pc du salon depuis une messagerie gmail à son nom vers un autre compte. N’importe qui aurait pu créer ces adresses mails et ces messages… N’importe qui mais surtout une personne qui avait eu l’idée de ce stratagème pour se payer du bon temps entre mes reins en l’absence de sa femme.Je n’avais jamais confronté Maman au téléphone durant son absence ni de vive voix depuis son retour; Je m’étais contenté de quelques mails bien en évidence sans chercher plus loin. Cela faisait quatre jours qu’elle était rentrée et tout était normal. Les explications les plus simples étant souvent les meilleures, la vérité me sautait enfin aux yeux: elle n’avait rien à se reprocher, tout simplement.Le sourire satisfait et moqueur de Sacha étaient de criants aveux: Il était machiavélique et il m’avait fait croire que mon monde s’écroulait pour faire de moi son jouet. J’étais tombée dans son traquenard et dans des proportions ahurissantes.J’avais envie de crier en pensant à ce que je lui avais laissé me faire et à la haine bien réelle qu’il m’avait fait vouer à ma propre mère. Je voulais le traiter de tous les noms mais déjà Maman revenait et il fallait faire bonne figure.J’ai terminé le repas en suant à grosses gouttes puis je suis allé m’enfermer dans ma chambre pour hurler dans un coussin. J’ai retourné les choses dans tous les sens pendant des heures mais il avait tout verrouillé: je m’étais faite avoir dans les grandes largeurs et je n’avais aucun moyen dévoiler ce qui avait eu lieu sans créer de dommages collatéraux colossaux et irréversibles.J’allais m’endormir à deux heures du matin en reconnaissant ma défaite quand j’ai entendu la porte s’ouvrir: C’était Sacha, en short comme lorsqu’il me rejoignait tous les soirs dix jours auparavant.- “Non mais tu plaisantes ! Et retourne voir maman, il ne faut pas qu’elle te voit ici”- “Je lui ai fait avaler un somnifère, il n’y a aucun risque”….- “Putain t’es vraiment un enfoiré !”.Il a caressé ma joue, mon ventre m’a trahi instantanément et je n’ai pas été capable de le repousser.- “Soit bonne joueuse… J’ai quand même géré cela à la perfection… et je crois que tu ne déplaisais pas dans mes bras”Il avait dit cela en embrassant le lobe de mon oreille et je n’ai pas été capable de m’empêcher de gémir.- “Moi non plus, je n’ai jamais eu autant de plaisir dans les bras d’une femme”- “Comment je sais que tu n’es pas encore en train de me mentir ?”- “Parce que je n’avais pas prévu que cela continue, parce qu’à ma façon je suis amoureux de toi et que je risque énormément en voulant te toucher de nouveau maintenant que ta mère est revenue”.J’ai écarté la couette pour le laisser me rejoindre et je me suis tournée sur le ventre: ce n’était plus une défaite, c’était une déroute.

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