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Cette histoire est fortement inspirée de l’univers de SEXtv de Isa Thornwood.
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La remise des diplômes
Émilie était impressionnante dans son tailleur rouge. Moi, j’avais un costume bleu foncé, sombre et distingué.
Chacun à notre tour, nous fûmes appelés pour recevoir ce diplôme. Pour moi, c’était un moment important.
Tout au long de notre scolarité, Émilie et moi avions travaillé ensemble, et nous nous apprécions et nous faisions confiance dans ce contexte. Mais un jour j’ai découvert chez elle une PCH box, le moyen d’accéder au réseau PCH : le plus important réseau pornographique du monde.
En fait, cette box appartient au père d’Émilie, le PDG d’une société d’importance régionale. Et comme elle occupe ce qui était sa garçonnière, elle avait hérité de la box avec un abonnement.
Je voulais inciter Émilie à sortir, mais quand elle m’a fait découvrir le monde PCH, moi aussi j’ai été happé.
— Du coup, tu me dis ce que tu comptes faire après? » Demandais-je à ma copine.
— Alex! » Rouspéta-t-elle, agacée. Cela faisait quelques mois déjà que bien que passant régulièrement des nuits avec elle, je ne savais pas ce qu’Émilie avait prévu après. Sans doute allait-elle être embauchée dans la société de son père, la SPQR. Je n’aurais pas dit non à un coup de piston.
— Tu m’avais dit, après le diplôme? »
— Oui, mais pas dans le quart d’heure qui suit! » Me coupa-t-elle.
— Et toi Kevin, tu sais ce que tu comptes faire ‘après’?» Demanda-t-elle. Kevin, dans son costume beige qui mettait son embonpoint en valeur rougit. Il savait mais ne voulait pas le dire.
— Je vais m’accorder quelques mois pour faire autre chose, et après je chercherais un boulot d’ingénieur.
— Tu vois Alex, tout le monde n’est pas entre diplôme complémentaire et boulot, » me dit-elle.
— Mais faire autre chose? Mais quoi? » Demandais-je.
— Un voyage, étudier le bouddhisme, je ne sais pas moi, » me dit Émilie.
— Étudier le bouddhisme? » Répétais-je incrédule.
— Je n’ai pas le droit, peut-être? » Me dit-elle.
— Je ne te vois pas dans la recherche de l’absence de désir, » lui dis-je. Elle me regarda.
— Toi non plus, » me dit-elle en haussant les épaules.
— Mais moi, je ne prétends pas aller étudier le bouddhisme, » concluais-je. Elle partit, et me laissa seul, comme un con.
Quand je me suis réveillé le lendemain, mon crâne était sur le point d’exploser. Je puais le vomi et l’urine. Mais surtout, je ne savais pas où j’étais.
— Ça va, Alex? » Me demanda ce crétin de Kevin.
— Euh, oui, » mentis-je, « mais, où suis-je? » demandais-je.
— Après qu’Émilie t’ait laissé, tu t’es mis à boire. Elle m’avait demandé de veiller sur toi. Je t’ai raccompagné chez moi, » me dit-il.
— Je vais rentrer chez moi, » déclarais-je.
— Comme tu veux. Tu ne veux pas boire de l’eau, ou du café? »
— Hum, si, tu as raison, » dis-je. Kevin disparut pour réapparaître avec un plateau petit-déjeuner.
— Tu m’as préparé un petit-déjeuner? » Demandais-je au crétin.
— Ben, je me suis dit que ce serait plus sympa comme ça. Je suis même allé te chercher des croissants, » expliqua-t-il.
— Euh… c’est gentil » dis-je en me disant qu’en plus d’être crétin, il devait être pédé. Il fallait que je me tire au plus vite.
— Émilie était inquiète, car quand tu es contrarié, tu as tendance à boire trop, » expliqua-t-il.
— C’est pas vrai, » criais-je après avoir manqué de m’étrangler dans mon café.
— Hier soir en tout cas, tu as trop bu, » conclut-il, en me regardant. Pour un peu il m’aurait reproché que du coup nous n’eussions rien pu faire ensemble!
Quelques minutes plus tard, je rentrais chez moi, dans mes vêtements qui puaient le vomi et l’urine. Émilie avait eu l’idée de laver mes vêtements. Le crétin, lui, n’avait pas eu cette idée. Mais, en fait, je préférais qu’il ne m’ait pas déshabillé.
Je me demandais pourquoi Émilie lui avait demandé de faire ça. C’était attentionné de sa part, mais elle aurait pu ne pas me contrarier, ça aurait été plus simple. Avait-elle voulu me tester avec le crétin?
Cela me rappelait cette émission stupide qu’elle aimait bien sur PCH : ‘La nurserie’. D’après elle, tous les acteurs commencent trabzon escort là. C’est faux, j’en ai trouvé quelques-uns qui ne sont pas passés par là.
Je ne sais pas ce qui l’intéressait, mais je crois qu’elle aimait deviner ce que ces acteurs allaient devenir dans la galaxie des programmes PCH. Pendant une semaine, ils étaient traités comme des bébés. Les filles dans des robes satinées roses. Et les garçons, soit dans des tenues bleues, soit dans des robes mauves. Déjà, se retrouver en couche culotte à marcher à quatre pattes devait être humiliant, mais être traité comme une petite fille; ce devait être terrible, pensais-je. Je souriais tout seul, en imaginant Kevin dans une robe mauve. Mais quelle chance y avait-il que PCH prenne un acteur comme lui. Ou plutôt si, il y avait un programme qui transformait des hommes en Sissy. Des hommes féminisés à outrance. Là aussi, j’aurais plaisir à y voir le crétin, pensais-je
Ce qui m’amusait c’était les enquêtes de Julie Lèche-cul. Peu de meurtres dans les versions de PCH, plutôt des viols, ou des enquêtes de mœurs, où Julie, et ses collègues n’hésitaient pas à se mettre en situation, ou à faire des reconstitutions.
Émilie m’avait surpris à apprécier des émissions plus BDSM, comme les reportages sur ce ranch où il y avait des Pony-girls et des Pony-boys, ou encore sur le dressage des chiens humains.
Le programme qui me plaisait le plus, c’était celui où il y avait des violeurs dans la ville. Dans cette ville, les filles semblaient terrorisées, mais en même temps très attirées par les violeurs. C’était amusant de les voir perdues dans leurs émotions contradictoires.
Si j’étais acteur PCH, j’aimerais bien me promener dans RapeCity. Choisir mes victimes, et les faire se déshabiller pour les prendre ensuite.
Il y avait aussi ces bureaux où les filles étaient des secrétaires à qui leurs patrons pouvaient tout demander.
Bizarrement, Émilie n’aimait pas tellement. « Je n’aime pas trop ces programmes où les hommes profitent des filles. Je préfère qu’il y ait carrément des soumis et des dominants, » m’avait-elle dit.
Une fois chez moi, je pris du temps pour me laver, et laver mes vêtements. Puis je regardais sur internet le prix des abonnements PCH. Je regrettais de ne plus pouvoir aller chez Émilie.
Il me fallut un moment pour prendre mon courage à deux mains, et l’appeler. Mais je tombais sur son répondeur, je raccrochais, et je rédigeais un SMS.
— Désolé de m’être comporté comme ça. Je voudrais qu’on puisse parler, » envoyais-je. Je voulais lui demander si ‘nous c’était fini? ‘ Mais je n’osais pas. J’avais trop peur de la réponse. Je n’eus pas trop à attendre, elle m’appelait.
— Bonjour Alex, » me dit-elle sur un ton froid.
— Bonjour Émilie, merci de m’appeler, » répondis-je.
— Heureuse de savoir que tu connais ce mot, » me dit-elle, j’avalais ma salive.
— Je suis désolé. Je n’aurais pas dû insister hier, » tentais-je.
— J’hésite. J’ai une idée, mais je NE VEUX PAS en parler. Pas tout de suite. »
— OK, mais en parler pourrait t’aider à peser le pour et le contre, » tentais-je encore.
— Demain, on mange dans un restaurant, et on en parle? » proposa-t-elle.
— Ce ne serait pas mieux ce soir, chez toi? » Essayais-je encore.
— Non, tu ne seras pas concentré. Chez moi tout ce qui t’intéresse c’est PCH. À demain, » dit-elle avant de raccrocher. Nous n’étions donc pas loin de la rupture. J’étais révolté qu’elle puisse penser ça de moi. Après tout, elle aussi était une spectatrice assidue de PCH.
Mais en y réfléchissant. Je me devais bien de reconnaître qu’elle n’avait pas tort. Ce matin même je pleurais un peu mon accès à PCH plus que la perte d’Émilie. J’essayais de me souvenir d’une fois où nous aurions fait l’amour ensemble sans avoir regardé PCH avant : nous nous retrouvions pour regarder PCH, puis nous évacuions ensemble notre trop-plein d’excitation.
Le lendemain, j’étais au point de rendez-vous avec un peu d’avance. J’espérais encore rattraper le coup. Elle arriva avec moins de cinq minutes de retard, pas assez pour lui en faire le reproche. En même temps, étais-je en position de lui faire ce reproche.
— Bonjour Émilie, » dis-je en l’embrassant. Elle m’embrassa en retour.
— Bonjour Alex, on commande? » J’étais impatient de savoir ce qu’elle voulait faire, ce qu’elle tunceli escort avait décidé. En fait, je ne savais pas bien de quoi nous allions parler.
— Tu sais, on pourrait travailler ensemble pour nos recherches d’emploi. Ça marchait bien quand on travaillait ensemble, » tentais-je.
— Tu as raison, ça marchait bien quand on travaillait ensemble, avant que nous soyons pris dans la tourmente de PCH, » me dit-elle, en me regardant.
— Ton père sait que tu utilises sa box? » Demandais-je, soudain, inquiet.
— Non, ou alors, il s’en fout, » me dit-elle.
— On devrait pouvoir redresser la barre, se fixer un objectif. Je sais que je suis un peu addict. » dis-je, pour essayer de l’adoucir.
— Tu es un peu addict? Nous le sommes, tous les deux, complètement, » me dit-elle. Cette réponse me fit peur.
— Mais on doit pouvoir… » commençais-je.
— Je t’ai dit que j’allais tout te dire, tu me laisses t’expliquer? » Me coupa-t-elle, un peu agacée
— Mais justement, j’attends… » dis-je.
— Tu attends ta dose. Moi aussi. Mais justement, écoute-moi, » voilà qui me rassurait, ça n’aurait peut-être pas dû.
— Oui. »
Quand nous fûmes assis à notre table à attendre nos sandwichs, Émilie me regarda. « À un moment, je pensais que nous faisions un couple avec une sexualité intense. Mais après, j’ai réalisé que non. On est juste des sex-friend, » commença-t-elle.
— Je ne suis pas tout à fait d’accord… » Protestais-je.
— Nous ne faisons rien ensemble. »
— On ne peut pas dire ça. »
— Quand on travaillait ensemble, on y arrivait. Maintenant, on ne fait que baiser. On baise bien, mais on ne fait que ça. Et même ça. On regarde PCH. Un truc pour toi, et tu te soulages en moi, puis un truc pour moi, et c’est moi qui profite de toi, » dit-elle. Le pire c’est qu’elle avait raison.
— Au début, je cherchais à m’habiller sexy, et finalement on a trouvé que ça nous faisait perdre du temps… » Dit-elle.
— C’est toi qui à proposé… » commençais-je.
— Oui, c’est moi qui suis malade. J’étais addict de PCH. Tu as voulu me sortir de là, et en fait c’est toi qui es tombé dans cette addiction. Maintenant, on regarde PCH chacun de son côté avec l’autre comme sex-toy vivant à côté de nous, » m’expliqua-t-elle.
— Euh… justement, essayons de se mettre pour objectif de nous en sortir en faisant nos recherches ensemble, » dis-je, pour essayer de trouver une solution.
— Je ne te demande pas une solution. Juste de me dire si tu es d’accord avec mon analyse. »
— Oui, tu n’as pas tort, mais je me demande si c’est grave. On doit pouvoir travailler ensemble à s’en sortir, » expliquais-je.
— Tu as voulu me faire sortir pour aller aux soirées, et c’est moi qui t’ai absorbée dans mon addiction. Je ne suis pas sûre qu’on puisse s’en sortir facilement. À mon avis, se défaire d’une addiction c’est de la volonté et de la souffrance. »
— C’est pour ça qu’il faut s’aider, » insistais-je.
— Je n’ai pas envie de souffrir. Et je ne suis pas sûre d’avoir la volonté de m’en sortir, » me dit-elle, en baissant la tête.
— Pardon? »
— Tu as bien entendu. »
J’en restais sans voix. Je n’avais pas bien compris. « Si tu ne veux pas sortir de l’addiction, où est le souci. Continuons, » argumentais-je alors, heureux, mais incertain de cet heureux dénouement.
— Non, tu n’as pas compris, » me dit-elle en recouvrant son visage de ses mains.
— Euh… »
— Je suis une addict : j’ai besoin d’une dose plus forte, » dit-elle en rougissant. « Mais je ne veux pas t’emmener dans mon naufrage. Tu as voulu me sauver, j’essaye de te sauver, » expliqua-t-elle. Vous allez rire, mais pendant un moment j’ai cru qu’elle voulait faire un ménage à trois avec Le Crétin.
— Une dose plus forte? »
— Je vais postuler pour devenir actrice PCH, » me dit-elle.
J’en restais sans voix. D’un côté je me réjouissais de la voir bientôt sur PCH. Je me disais qu’elle, je la suivrais dans ‘la nurserie’, puis dans le coin des ados… Avant de réfléchir que, une fois Émilie partie, je n’aurais plus accès à PCH.
— Mais, tu es ingénieure, après un passage à PCH… »
— Je n’aurais peut-être même plus besoin de travailler. »
— Mais Émilie, ils manipulent les acteurs tu en sortiras déséquilibrée. »
— Je crois que je le suis déjà. Et uşak escort puis j’ai profité de ce qu’ils font subir aux acteurs. Peut-être que je dois payer de ma personne pour ça. »
— Émilie… » Dis-je, mais il me semblait qu’elle s’éloignait de moi, sans que je ne puisse rien y faire.
Elle me regarda en pleurant. Je savais qu’il fallait que je trouve l’argument maintenant.
— Tu en as parlé à tes parents? » dis-je.
— Pas encore. Mais je le fais ce week-end après avoir envoyé ma candidature. »
— Et comment vont-ils réagir? »
— Me dire que je suis une traînée sans doute. Mais je crois qu’être leur gentille petite fille me fait encore plus peur, » me dit-elle. J’étais désarmé.
— Et si je postulais? »
— Tu détestes ‘la nurserie’, » me dit-elle, dans un éclat de rire.
— Quelques acteurs n’y passent pas, » répondis-je, un peu vexé.
Ce soir-là, nous nous sommes retrouvés tous les deux, nus devant PCH. Mais après avoir fait deux candidatures en plus des candidatures à PCH.
— Si on est pris, on devrait se retrouver dans ‘la nurserie’ » me dit-elle.
— Ce n’est pas la partie qui m’enchante le plus, » dis-je en frissonnant alors qu’à l’écran un gars en jupe mauve était changé. »
— Tu as mouillé ta couche, attention demain c’est l’épreuve de passage, il faudra que soit une fille sage et propre » dit la nounou. Le contenu de la couche n’était jamais montré, et les organes génitaux des gars en mauve restaient cachés également, sans doute pour donner l’illusion que c’était des filles.
— Un truc qui m’angoisse, c’est pourquoi les acteurs mouillent leurs couches, » me dit-elle.
— Parce qu’ils n’ont pas accès aux toilettes, » proposais-je.
— Ben là, Sylvia n’a pas pu attendre qu’on la mette sur le pot? » Demanda Émilie.
— Sylvain, c’est un gars, il a une robe mauve… » commençais-je.
— Toi tu as peur de te retrouver en mauve. »
— Oui, clairement »
— Je pense que tu ne risques rien, ce serait dommage de perdre l’usage de ça, » dit-elle en venant me sucer.
Manifestement les bébés acteurs en mauves portaient une cage de chasteté. Au moment de « l’apprentissage de la propreté », ou dans le coin des Ados, c’était assez troublant. Pour moi, c’était une angoisse. Cette notion aussi « d’apprentissage de la propreté » des bébés acteurs me laissait aussi mal à l’aise. J’étais persuadé qu’on leur demandait de simuler cela. Mais ils jouaient tous très bien, trop bien.
— Tu sais, demain j’irais bien acheter un god-ceinture, » me dit-elle.
— Pourquoi? » demandais-je.
— Pour se préparer à la cérémonie de sortie de ‘la nurserie’, » me dit-elle.
— Ah… oui… » Dis-je, embarrassé.
Je dois être honnête le lendemain et les jours suivants, nous n’avons pas décroché de PCH, tout en travaillant la sodomie d’un point de vue, comme de l’autre.
La réponse de PCH fut positive, pour Émilie comme pour moi.
— Ce serait rigolo qu’on se retrouve ensemble dans les émissions, » dis-je.
— Oui. Mais comme on n’a pas les mêmes goûts ne je pense pas que ce sera le cas. Par contre si on arrive ensemble à ‘la nurserie’, on passe le test de sortie ensemble. »
— Euh… Tu crois que c’est scénarisé? » Demandais-je.
— C’est ce que tu dis depuis le début. Moi j’ai l’impression qu’ils font ce qu’ils peuvent. Si on se retrouve ensemble, on joue honnêtement sans essayer de faire un truc pour l’autre. Je crois que ça ne pourra que nous desservir, » me dit-elle. Encore une fois un frisson me parcourut le dos tellement j’avais peur de cette étape.
— Ils disent que si on est pris, on commencera le lendemain de l’entretien, pour 12 semaines, » dit-elle en regardant le courrier.
— Il faut qu’on prévoie de se retrouver? » dis-je.
— On aura changé, je crois, » dit-elle pensive.
— Je crois aussi. »
Quelques jours plus tard, nous entrions ensemble dans la salle d’attente de PCH. Nous n’étions pas seuls. Nous assîmes côte à côte, en regardant les autres candidats. Pourrions-nous nous retrouver avec eux sur les plateaux de PCH?
— Kevin? » Appela une voix. J’étais stupéfait de voir le crétin ici. Il se leva et entra dans la pièce pour passer son entretien d’embauche.
— Le crétin? » Dis-je en regardant Émilie.
— Imagine que lui soit un bébé en bleu, et toi en mauve? » Me dit Émilie, tout en riant.
— Oh, non, pas ça! » Dis-je, rempli d’appréhension.
— Et tu sais dans quel programme tu aimerais être ensuite? » demandais-je.
— Il y en a tellement, je crois que j’aimerais bien passer de l’un à l’autre comme une invitée! » me dit-elle.
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