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un week end ordinaire1/6ça y est, c’est vendredi soir. Semaine de boulot enfin terminée. Plein le dos des collègues graveleux qui reluques mes jambes ou mon décolleté, léger pourtant, et te disent qu’il y garerais bien leur engin. Cela peu paraître flatteur mais la grossièreté des personnages estompe toute idée de romantisme. Quoi de prévu ce week-end ? Je réfléchis, ben rien. Les enfants sont chez leur père, j’ai vu mes parents la semaine dernière. Peut être une petite sortie ce soir ou demain ? Je verrais.Je me concentre sur la route, le soir commence à tomber, et conduire entre chien et loup n’est pas mon moment préféré de la journée .Allez ! Plus que quelques kilomètres.Me voici arrivée à ma résidence, petit parking bordé d’arbres, agréable en journée, mais là, à la nuit tombée, je peine à voir si je me gare bien entre les lignes. Je rassemble mes affaires, sac, téléphone, puis je prends mes clés d’appartement et m’apprête à sortir. Je reboutonne mon gilet car il commence à faire frais en l’absence du soleil. Après avoir fermé ma voiture à clé, je me dirige vers le bâtiment et là, venu de je ne sais où, je me fais coiffer d’un sac ou je ne sais quoi qui me fait perdre toute idée de ce qui m’entoure, je m’apprête à crier mais une main se plaque sur ma bouche, une autre ceinture mes bras. Terrifiée, je lâche tout ce que je tiens : mon sac, mes clés. Puis encore des mains saisissent mes chevilles, je me sens portée, à l’horizontal. Je ne sais pas combien ils sont à s’affairer sur ma personne. J’entends un véhicule approcher, une porte s’ouvre, je suis chargée sur une banquette, la porte se ferme, le véhicule repart.Tétanisée, je tente de demander où l’on m’emmène mais la peur ne me fais emmètre aucun son.Je sens que l’on me ligote les mains dans le dos et les chevilles. Aucun mot n’est prononcé par mes k**nappeurs. Je sens la présence d’une personne anadolu yakası escort de part et d’autre, je suis assise, le véhicule roule, apparemment tout droit, je ne sais pas dans quelle direction. Pas de radio, pas de bruit, j’ai peur.Qui pourrait bien m’en vouloir au point de me faire k**napper ? Moi une simple secrétaire d’une entreprise familial de travaux publics ? Sans histoire ! Est ce bien moi qui étais visée ? Vais je sortir vivante ? Vont ils me torturer ? Quelqu’un va bien trouver mon sac sur le parking et appeler la police. Je n’ai pas d’histoire dans la résidence, peut être quelqu’un s’apercevra de mon absence !Toutes ces questions qui tournent dans ma tête m’ont faites perdre le sens du temps. Je ne saurais dire combien de temps on a roulé, mais j’entends un crissement de gravillon et je sens la vitesse se réduire.La voiture s’arrête, immédiatement les portes s’ouvrent et me voici de nouveau à l’horizontal, emmenée à l’intérieur d’une maison, d’un hangar je ne sais pas.Des portes s’ouvrent, se ferment en claquant, à aucun moment le déplacement ne s’arrête. Je suis jetée sur ce qui me semble être un lit. Un canapé peut être, je sens une parois verticale rembourrée. Mes liens sont dégagés, j’entends une porte claquer et puis plus rien.Je ne bouge pas, j’écoute, …… Rien, pas de souffle, pas de bruit. Je masse mes poignets car les liens m’ont un peu fait mal. J’enlève doucement ce sac de ma tête, je découvre une grande chambre, je suis sur un canapé, il fait bon, on dirais que je suis dans un château, les volets sont fermés, et deux portes, dont une entrouverte.Je regarde mes vêtements, rien d’arraché, j’ai toujours mes chaussure. Qu’est ce qu’il m’arrive ? Une blague des copains ? Ma vie sociale ne me laisse pas entrouvrir une telle éventualité ! Ils sont toutes et tous rangés, mariés avec enfants, beykoz escort ils ne leur serais pas venu à l’esprit une telle machination.Je me lève, doucement, je visite cette geôle ma fois spacieuse et confortable. Je pousse la porte entrouverte, c’est la salle de bain, avec un toilette. Ces dernières sont les bienvenues, je m’installe et regarde en même temps, peignoirs, serviettes, gel douche tout y est. Cela pourrais presque ressembler à un hôtel. Après tout, puis ce que je suis là, je me déshabille et passe dans la douche. Cela me fais du bien, j’en oubli presque ma captivité. J’enfile le peignoir, me dirige vers le lit et je m’allonge, pour l’essayer. Il est ferme, je me laisse aller, ferme les yeux et je m’endors.La faim m’a réveillé, la lumière était toujours allumée, à coté du grand lit un portant avec beaucoup d’affaires, de la lingerie essentiellement.Tiens ! La deuxième porte est entre ouverte. Je m’avance prudemment, je pousse la porte et un chariot avec un plateau repas est là, sa sent bon. C’est un corridor, l’autre porte doit être fermée, je ne tente pas de l’ouvrir, j’amène le chariot dans la chambre, j’ai faim et sous la cloche, je découvre ce qui pourrait s’apparenter à une blanquette avec du riz. Je m’installe, le plateau sur la table basse et sous le verre, un papier, plié en quatre. Je déplie et commence à lire. Peut être un début d’explication.«  Ma chère Nathalie, j’espère ne avoir été trop brutal dans mes agissements. »Pour me faire venir à l’hôtel, il aurais pu être un peu plus romantique quand même ! « Sur le portant, tout est a votre disposition, servez vous. Je viendrais frapper à votre porte 15 minutes avant de vous faire sortir. Mettez de la lingerie blanche uniquement et le masque assorti. Signé Claire »Une femme ! c’est une femme qui m’a enlever ! Je ne connais aucune Claire. Ou peut être kadıköy escort est ce une couverture.Je me délecte de ce plateau repas, c’est très bon, finement assaisonné. Après ce délicieux dîner , je regroupe tout sur le chariot que je replace dans le corridor. Je referme la porte.Qu’attend elle de moi ?Je déplace le portant vers le milieu de la pièce et découvre un miroir psyché, idéal pour l’essayage. Je passe un à un les cintres du portant, il y a de tout ! Tenue soubrette, cuir, porte jarrette, bustier, et toute les couleurs ! Tiens une nuisette mauve, ce n’est pas une couleur que j’ai l’habitude de porter mais celle ci est jolie. Je retire le peignoir, le jette sur le lit et l’enfile. Face au miroir, je trouve que cette nuisette tombe plutôt bien. Je choisit un ensemble en dentelle blanche, porte jarretelle, j’espère que je vais arrivé à mettre sa, je n’en ai jamais eu ! Soutient gorge en même dentelle, 95 D, tout est à ma taille ! Et le masque assorti.Je commence par le porte jarretelle, que j’ajuste à ma taille, le shorti assorti, les bas plutôt résille, que je peine à fixer aux attaches du porte jarretelle. Dans toute cette attention à moi même, je n’entendis pas les portes d’à coté, et je sursautais lorsque l’on vin frapper ! 15 minutes ! C’est le temps qu’il me reste. Mon cœur s’accélère, ce que je pris pour une séance d’essayage se transformais en une préparation à l’échafaud. Pourquoi m’affubler de la sorte si ce n’est pour abuser de moi ? Je me résignais à penser que tout allais bien se passer, même si d’ordinaire j’aime tout contrôler. Si elle voulais me faire du mal pourquoi autant de bonnes attentions ? La chambre, pas de v******e ! Et si je la connaissait ? Est-ce vraiment une femme ? Je me ressaisis car les minutes s’écoulent et je ne suis pas prête. J’ajuste le soutient gorge, je me regarde dans le miroir, je me plais ! Pourquoi n’ai-je jamais pensé à m’habiller de la sorte ? Cela me va vraiment bien. Je m’assois sur le canapé, je mets le masque sur mes yeux, et droite, comme une écolière sage, j’attends. J’écoute ma respiration s’accélérer et mon cœur bat fort apeurée et impatiente. La porte s’ouvre, je tremble.à suivre

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